29.9.05

Souvenirs lointains

Τά ζοά τρέχει

10 commentaires:

Anonyme a dit…

Je ne comprends pas, mais c'est nécessairement magnifique, comme celui qui l'a écrit.
You're a winner (mais pas l'ourson, hein, il y en a déjà deux, après y a plus de débouchés! A winner l'oursin?Non, tu n'es pas épineux, même avec le cou dur...)

Anonyme a dit…

mon ange, dois-je de moi-même démolir tout le charme mystérieux de cet aphorisme? J'ai personnellement fait réviser à Alexandre le bêta-alpha-ba de l'admirable dialecte ionien attique. Cette phrase tout bonnement fabuleuse d'un point de vue lyrique, et que je ne traduirais pas ici parce qu'aucun mot français ne peut en rendre l'intensité poétique, illustre l'une des particularités grammaticales du grec ancien.

Anonyme a dit…

je n'ajouterais qu'une chose : tonde moi prôton phrason tis estin (pas de police idoine à ma dsiposition.

Eric a dit…

Mais heu ! Tramaque ! Laisse ecrire Vincent ! Ca me va bien...
Et puis tu m'as fait révisé quoi, déjà? Je ne me souviens pas trop !
tas d'boas pagayent...

Anonyme a dit…

Vous fulez quoi tous là?
parce qu'il faut arreter tout de suite.....

Rafaele a dit…

Fuler ? Apparemment E. nous sommes mis à l'écart de ce qui fut autrefois notre territoire ! Nous ne comprenons plus rien ! On nous dit rien on nous cache tout ! Rafaele très très très jaloux !

Eric a dit…

E. :
Je fule ce que je pneu !

Rafaele : Ta présence manque ici ! Reviens... :'(

Rafaele a dit…

Non vilain tu m'as déjà remplacé :o'(

Eric a dit…

Qui peut te remplacer la ou tu es actuellement? Vraiment...?

Anonyme a dit…

Mais qui a bien pu te remplacer, Rafaele?
La jalousie est un sentiment qui ne te va pas, tu es bien au delà de tout ça...
Et puis arrêtez de fuler comme ça, c'est indécent!