31.5.05

Enfin...

Aujourd'hui, depuis 11h00, Mr Raffarin retourne à la France d'en bas... Juste retour des choses...

La mer


Photographie : E.F.



La mer est toujours belle, quelquesoit le temps où on la voit.
Dimanche, sur l'île de Ré, il a plu toute la journée (un temps de Toussaint, dirait Alexandre). Pourtant en voyant la mer dans le petit port de Flotte (si si, je vous assure... Ca ne s'invente pas) constellée de petits impacts de gouttes de pluie, je me suis senti serein (pas le zozio) et calme. La mer a cette vertu sur moi... je pourrais rester des heures et des heures à observer la danse des vagues sur un mur de pierre d'un port ou sur le sable d'une plage, regarder les mouvements gracieux des petits bâteaux de pêche. Ca me permet de me vider la tête de tout. Je ressors vidé mais reposé.

Pensée du jour

"Rêve de grandes choses, cela me permettra au moins d'en faire de toutes petites... Et puis de toute façon, je garde espoir de les réaliser un jour..."

Pensée "petit scarabée" alexandrine.

30.5.05

C'est moi !

Photographie : E.F

Bon! Je sais bien ce que vous allez me dire : ca fait très égocentrique de s'exposer comme ça visuellement sur mon blog. C'est prétentieux; ça dénote un fort égo, des chevilles épaisses et une grosse tête...

Eh bien, pensez ce que vous voulez ! Moi, je m'aime bien sur cette photo... C'est sufisemment rare que ça arrive pour que je je le fasse savoir quand c'est le cas...
Alors, je m'expose...

Private Joke

Mr et Mme Picotte ont une fille, comment s'appelle t-elle?
Laurence. Parce que Laurence Picotte en buvant de la vodka caramel.

Lapsus révélateur

Pourquoi les gens se sentent obliger de dire des aneries dès qu'il y a un bébé dans les parages?
Et vas y que je te fais des gouzi - gouzi, des areuh - areuh et autres borborygmes. Et une gratouille sur la tite tête et un guili-guili sous le menton et des papouilles sur les mimines... Les gens régressent en voyant un tite bout chou rose et joufflu.
Ainsi dans un magasin, une maman exhibe fièrement son dernier rejeton dans une poussette jaune poussin (qui va si bien au teint du bébé) avec roues tout terrain, super pratique dans un magasin, surtout un magasin de vaisselle.
La vendeuse s'extasie bruyamment avec force cris aigus (de cochon assasiné?) devant le poupon rose et bavouillant :
- " Oh quelle belle crevure...!"
Elle pensait sans doute dire "crevette" mais c'est "crevure" qui est venu.
La mère est sortie immédiatement du magasin, rouge d'indignation et offusquée par le terrible affront qu'elle venait d'essuyer...
Mort de rire !

La Rochelle en Ré majeur

La Rochelle est belle.
Mais La Rochelle bêle.
Sans arrêt des décibels.
A coups de klaxon,
De cris et de chansons,
La ville vibre de tous ces sons.
Pas de Quiétude, pas de repos.
Beaucoup de bruit pour nos oreilles.
Beaucoup de bruit pour rien.

TOFFSY



Ben moi, je connais quelqu'un qui ressemble, en ce moment, à Toffsy.
Sauf qu'il a les cheveux noirs...

La bonne blague de Dame Astrid

Pourquoi les gentes dames blondes s’en vont à l’église prier avec une éponge ?
Pour laver Maria (l’Ave Maria).

L'avocette élégante


Photographie : Mark Müller
Elle est belle cette photo !

A Demy mot

Qui dit La Rochelle dit Rochefort.
Qui dit Rochefort dit les demoiselles.
Qui dit les demoiselles dit Cherbourg.
Qui dit Cherbourg dit les parapluies.
Qui dit les parapluies dit dimanche sous la pluie à La Rochelle.

Pensée d'Alexandre

" Les chemins de la gloire sont semés d'embûches... Surtout à Noël... "
En repensant, avec Rafaele, à la carrière éphémère de Yanna Katsoulos ("Les autres sont jaloux"), chanteuse des 80's...

27.5.05

Rideaux

" Mesdemoiselles, Monsieur,

Vous n'êtes pas sans vous souvenir que ce soir nous abandonnons tous nos soucis et tracas quotidiens aux portes du train à grande vitesse n°8379, au départ de la gare Montparnasse et en direction de La Rochelle.
A 20h10, précisément, nous serons en route vers un week-end magnifique au bord de l'Atlantique. De nos places 23, 24 ou 27, 28 de la voiture 17, nous verrons les paysages défiler et le soleil se coucher avant de nous retrouver 3h01 après, dans une moiteur (car il fera chaud) iodée qui nous fera devenir des aventuriers au long court près à affronter des dunes sauvages, des chats sauvages (du nom de César, ça veut tout dire sur la sauvagerie de cet animal) et des autochtones sauvages (aussi).
Alors ce soir, silvouplé, on oublie Paris, le travail, les collègues chiants, les petits déjeunés qui fatiguent, les journées de travail difficiles que ce soit au téléphone ou devant un tableau Excel ; On oublie les tracas personnels, la fatigue. A partir de ce soir, il n’y aura plus que 5 amis (et un chat) en week-end, en goguette. On sera 5 personnes hors du temps.
Silvouplé ! On en a besoin… "
Alexandre vous remercie de votre attention.

Nostalgie


Tout doucement - Voyage, voyage - Eve, lève toi - Les démons de minuit - Etienne, étienne (oh tiens, le bien !) - Les bêtises - Comme un ouragan...
Caroline Loeb * Début de soirée * Jean-Pierre Madère (Oh Macumba, elle danse tous les soirs) * Partenaire particulier * Axel Bauer * Jean-Pierre François...
Cerveau conditionné à l'orgue Botempi et aux arrangements boîte à rythme...

25.5.05

Pensée du jour

Il faut rajouter de la vie aux années et non des années à la vie.

Proverbe chinois Alexandrin.
Merci Mamzelle I.D.S.

Vous avez un nouveau message n°2



Merci Astrid et Laurence pour cette jolie carte d'anniversaire... Originale...

Ps : Pour les curieux ! Ce n'est pas une représentation de ma pomme !

24.5.05

Que la force soit avec vous ! Et avec toi aussi !


Alors ça ! On peut dire que c'est un film qu'on attendait... Deux ans qu'on se demande comment et pourquoi un héros va passer du côté obscur de la force (à droite, après la seconde porte). Je tairais les noms pour ceux qui n'ont pas encore vu le film (il y en a encore?) et pour ne rien révéler de cette fin de 2ème triolgie qui se trouve être en faite la première triolgie, tournée 20 ans après la 2ème trilogie qui a été réalisée en premier... (alors deuxième, première mais première, deuxième... Oui, c'est ça ! Je ne me suis pas trompé).
Qui dit fin de trilogie dit dénouement d'une histoire assez compliquée, développée assez lourdement et assez maladroitement dans les deux premiers opus. On devait retrouver les éléments qui devait donc expliquer les évènements des deux premiers épisodes et faire la jonction avec la seconde trilogie (celle de Luke et Leia). Et je dois dire, qu'il s'est bien débrouillé le bougre de réalisateur. En deux heures et vingt minutes, il nous livre un épisode noir à l'image du regard de plus en plus lourd de menace d'un des personnages (que je ne peux pas nommer sans dévoiler la fin de l'histoire). Des combats épiques et des décors en toc; des petits vieux volants comme des boules de flipper et des maîtres Jedi qui se laissent un peu trop facilement piéger pour des maîtres Jedi.
Bon, deux heures et vingt minutes, c'est tout de même un peu long surtout quand on se trouve dans une salle climatisée histoire de garder congelés les esquimaus MiKo (en vente dans cette salle, et pour cause). Mais à la deuxième vision (parce qu'un Star Wars ne s'apprécie vraiment qu'après deux ou trois visions et autant de soussous dans la poche de la tirelire Lucas), je suis sûr que je vais l'apprécier à sa juste valeur : un bon film de science fiction intergalactique.
Star Wars
De Georges Lucas
Que la force soit avec toi
Avec
Hayden Christensen
Ewan McGregor
Shrek as Maître Yoda
Natalie Portman
Que la force soit avec vous!
Et avec toi aussi ! Bilibili !

Ma boule, Ange, rit

Ce soir. Dans ma boulangerie de la Place des Fêtes, achetant mon chausson aux pommes (le meilleur de tout Paris).

Un cliente (un peu louche) : " Ah! Vous n'avez pas de croissants... "
La vendeuse (gentille) : " Mais si, Madame! Ici... " (et elle lui montre les croissants beurre)
La cliente (un peu étrange) : " Mais non, des croissants au jambon... "
La vendeuse (stoïque) : " Ah non ! "
La cliente : " Mettez moi une part de pizza tomates anchois... "
Moi (intérieurement) : " Yirkkk ! "
La cliente (un peu folle) : " Je veux aussi le machin là, "demon". "
La vendeuse (avec les yeux ronds) : " Pardon? "
La cliente (en se jetant sur la vitrine pour indiquer ce qu'elle veut) : " ca ! "
La vendeuse (se mordant la joue pour ne pas rire) : " Un soda LEMON ! "
Moi (toujours intérieurement) : " Elle est pas bien celle là! "
La vendeuse : " Vous voulez que je vous le réchauffe? "
La cliente (complètement à la masse) : " La pizza, hein? Parce que je le veux frais mon soda..." (et elle éclate de rire, contente de son bon (?) mot).

La vendeuse me regarde navrée et dépitée...

Pensée du jour.

Paris est plein de Parisiens... Dommage...

Pensée provinciale Alexandrine (heureusement qu'ils sont là les provinciaux de Paris!).

Soupirs de contentement

Photographie : E.F

Tout est dit dans cette photo...

Bonne nouvelle n°2

A.S. a le ventre rond comme un ballon. C'est un heureux événement...

23.5.05

Vous avez un message...

"Que la jauneur du soleil et la matinalité des oiseaux pourvissent vos yeux de la jolitude des fleurs.

Dieu en sa grande et agréable bonté a rempli ce matin mon cortex d'un zèle écritoire bien inusuel, et même si c'est trop facile d'être bon quand on est Dieu, je lui dis merci quand même.

Avec mes doigts qui fourmillent depuis l'aurore (en Suisse, le soleil se lève à sa propre aurore vers 2h46 parce qu'on est des vrais bosseurs, un peu comme au Brésil mais différent..) avec mes doigts qui fourmillent donc, je vous envoie quelques détails supplémentaires sur les prochaines dates qui nous concernent. D'abord j'avais écrit "les prochains concerts qui nous concernent", mais ça faisait un peu lourd alors j'ai tout fait backspace et là on voit plus rien. C'est bien pratique l'ordinateur, on gagne du temps et de la place, parce que tu peux faire plein de fautes, y aura pas une rature.

Voilà sinon j'ai rien à dire mais je le dis avec plaisir et finalement c'est ça qui compte, comme disait Henri Le.

27 mai: Genève, Festival d'un jour, avec Dolly, maison de quartier de St-Jean, Ch. François-Furet 8, dès 19h. Là on jouera avec notre ami batteur Luc Ramu et Marcello Guiliani le fameux bassiste (Truffaz, Henri Salvador), en plus de Messieurs Bidette et Trompouille, ou le contraire.

05/08 : Rock'Air Festival, Porrentruy, et y aura aussi Climax (le groupe de Monsieur Bidouille, ils sont chouettes)

TOURNEE CCAS
17/08 : Thonon les bains (74)18/08 : Thoirette - Arinthod (39)19/08 : Beaufort dur Doron (73)20/08 : Les Chapieux - Bourg St Maurice (73)22/08 : Munster (68)23/08 : Kaysersberg (68)24/08 : Boersch (67)25/08 : Salins - Nans sous Ste Anne (25)

4 OCTOBRE : sortie du nouvel album!!!!!

LE OURS EN HIVER: concerts au Zèbre de Belleville, Paris:
du 8 au 10 décembre, du 13 au 17 décembre, du 22 au 23 décembre
Alors là, faut réserver vite parce que ce sera le tout nouveau spectacle avec presque que des nouvelles chansons, des nouveaux invités, des nouveaux gags avec la tête de Bidouille qui fait toujours rigoler, des nouveaux pantalons très moulant pour Monsieur Trompette, et des nouvelles baskets pour moi, pour avoir quelque chose à regarder quand je fais semblant d'accorder ma guitare.

Alors à bientôt.
Jérémie Kisling"
C'est un poête c't'homme là ! Que j'aimerais écrire comme il le fait...

La canchon dormoire d'Alexandre Desrousseaux

Parce que cette chanson fait partie des chansons qui ont bercé mon enfance;
Parce que j'ai croisé un monument à la gloire du compositeur ce week-end;
Parce que E. ne connaissait pas cette chanson;
Parce que nous vivons dans un monde de bruts et que la musique adoucit les moeurs.

Dors min ptit kinkin,
Min ptit pouchin,
Min gros rogin !
Te m’fras du chagrin
Si te n’dors poin chqu’à dmain.

Dors, mon petit bébé,
Mon petit poussin,
Mon gros raisin !
Tu me feras du chagrin
Si tu ne dors pas jusqu’à demain.

Un week-end comme celui que nous avons passé ce week-end, cha rec'auffe min coeur...
Chti souvenir d'al gaiette

20.5.05

Une journée à oublier

Il y a des jours ou je devrais rester coucher, caché sous la couette; à refuser de voir la lumière et se borner à la vie merveilleuse de mes rêves dorés.
Je ne veux pas m'apitoyer sur mon bon sort : je ne suis pas à plaindre, loin de là. Mais ce que je trouve incroyable c'est l'accumulation de petits détails qui grattent aux entournures d'une journée qu'on voudrait bonne.
Ca commence par une petite migraine latente, dès le réveil. Pas une douleur trop forte, mais on la sent, là, prête à se rappeler à notre bon souvenir à la moindre occasion. Le genre de petit bobo qui me rend grognon parce que non défini, sourde et rampante, un peu vicieuse. Un café, un jus d'orange et un une petite barre de céréale suffisent, en générale à terrasser la maligne. Le Saint Georges des petits déjeunés, en somme. Si cela ne suffit pas, employons les grands moyens : contactons le Terminator Doliprane; Le Schwartzeneger Aspirine; le Rambo effervescent. Ce matin, je n'ai pas eu à aller à cette extrémité définitive. Le Granny Maniac Caramel a impressioné la migraine naissante.
La migraine est vite oublié aux rythmes yéyé des Surfs et puis une bonne chose m'attend à 10h30 : je vais chez le coiffeur. Monsieur Michel. Le shampooing. Le massage de Monsieur Michel pendant le champooing. Tous mes bulbes capillaires (bon, d'accord, ceux qui me restent) fremissent à l'avance à l'idée de sentir les doigts vigoureux de Monsieur Michel les triturer, les papouiller... Humm ! Ca va être bon... Sauf que ce n'est pas Monsieur Michel qui me fait le shampooing. Une fille (oui! Une fille... et jeune en plus) me massacre mon petit plaisir dermique. Mes cheveux sont malaxés sans douceur, détergés à la va vite. Elle me noie, même, ma cavité auriculaire (gauche). Je sens un relent de migraine poindre du côté de mon hémisphère (droite) mais la simple image de ma barre céréales magiques suffit à la maintenir dans des proportions acceptables. Monsieur Michel me coiffe ensuite mais mes bulbes sont beaucoup moins affriolés par ce manque d'excitation manuelle.
Je retourne à la maison un peu dépité tout de même mais les echanges informatiques avec Rafaele remonte le moral (merci Rafy). Toutefois, l'approche de l'heure du départ vers Issy me fout un (nouveau) coup au moral d'autant plus que je dois passer l'aspirateur avant de partir. Mais ma consciense professionnelle m'oblige à prendre le métro.
Et mes aventures n'ont fait que continuer. Quand je vous dit qu'une mauvaise journée est une succession de petites mauvaises expérienses. Je m'installe dans une rame, tranquillement, sagement avec mon livre ("vacances indiennes" pour ceux que ça intéresse) et commence à lire. Seulement, un ivrogne entre dans la rame et s'affale dans le carré à côté du mien. Il était ivre; il puait l'aigreur de l'acool bon marché et de la sueur sale; il était débectant. Il a commencé à parler très fort et à tenir des propos incohérents. Il était très excité et virulent. Il s'en est pris à une pauvre nana qui a fuit au premier arrêt. Et ce qui devait arriver, arriva ! Il s'en est pris à ma personne. Moi qui suis si gentil et si inoffensif.
Ca m'a achevé cette histoire. J'étais tout énervé et fébrile en arrivant au travail; blanc comme un drap et les jambes dans un drôle dans la même matière que les draps. C'est vrai quoi ! Je ne demande rien à personne, juste qu'on me respecte un minimum. J'aime autant vous dire que "les-petites-ménagère-de-50-ans-qui-font-que-de-se-plaindre-parce-qu'elles-n'ont-jamais-le-droit-à rien-malgré-le-prix-qu'elles-payent-qu'on-pourrait-faire-des-efforts-tout-de-même", je les ai reçu avec beaucoup d'amabilité...
Mais bon ! Il y a des jours comme ça. Il faut s'y faire; se laisser porter par les événements sans pour autant se laisser emporter. Attendre que cela passe. Et puis se dire : "t'inquiète pas pépette! Demain, c'est le week-end et tu pars te promener en bonne et charmante compagnie..."

Bonne nouvelle n°1

Elles se pacsèrent et eurent beaucoup de vent...

19.5.05

Kenji Takagi

Ce garçon là mon vieux! Ouah ! Il est terrible...

Ce charmant garçon est danseur. Danseur de la grande Pina Bausch. Et quand il bouge sur scène, Kenji, je vibre au rythme de sa danse endiablée.

Ces gens du grand monde...

Le baron : "Votre habit a craqué dans le dos !"
Pauline : "Votre habit a craqué dans le dos!"
Bobinet : "Mon habit a craqué dans le dos?"
Tous : "Oui, son habit a craqué dans le dos, craqué dans le dos!"
Le baron : "Cela gate ce beau costume."
Pauline : "Ce sont là de nobles accrocs".
Le baron : "Il pourrait attraper un rhume."
Gabrielle : "Baron, tenez-vous au repos."
Le baron : "Oui, mais son habit a craqué dans le dos!"
Gabrielle : "Ah bah! Son habit a craqué."
Les hommes : "Vraiment son habit a craqué!".
Les femmes : "Comment, son habit a craqué?"
Tous : "Il a craqué dans le dos, craqué dans le dos!"
Gabrielle et Pauline : "Baron, tenez-vous au repos. Allons, Baron!"
Urbain : "Oui, votre habit a craqué dans le dos, craqué dans le dos!"
Ensemble : "Votre habit a craqué dans le dos, a craqué dans le dos..."

La Vie Parisienne Acte III - Opéra Bouffe de Jacques Offenbach - Livret de Henri Meilhac et Ludovic Halévy.

Portrait



Alexandre vu par Rafaele...

Les pensées de Rafaele

Sortant de Notre Dame et ayant vu deux soeurs faire la quête :

- "... Si on donne trop de sous aux petites soeurs des pauvres, elle vont devenir des petites soeurs des riches. Donc, elles ne serviraient plus à rien. Donc, il ne faut pas leur donner de sous..."

18.5.05

Ephéméride

Aujourd'hui, on fête la Saint Eric.
J'en connais des tonnes et des tonnes; mais il y en a qu'un seul de bien. Bonne fête Rico De La Vega.

16.5.05

Pensée du jour

Après le week-end Téléthon; le week-end solidarité Sida; après la journée de la femme; la journée des secrétaires, voici la journée de sollidarité pour les personnes agées.
A quand la grande soirée sur France2, animée par Michel Drucker, Michel Denisot, Claire Chazal, Pascal Sevran et Christophe Dechavanne?
Remarque, Dechavanne a déjà une longueur d'avance en présentant la Ferme des Célébrités.

Pensée caustique Alexandrine qui travaille avec des personnes agées depuis 3 ans maintenant...

15.5.05

Mon petit doigt m'a dit...



Mon petit doigt m'a dit, suppliant :
" N'y va pas ! N'y va pas ! "
Mon majeur lui a répondu dans un geste obscène :
"Trop tard ! Tu l'as vu... Ha ha ha !!!"

Mon petit doigt m'a dit de Pascal Thomas

Gallerie Bollywood

Les galleries Lafayettes se sont mises aux couleurs et aux saveurs de Bollywood. Bollywood est à la mode, qu'on se le dise.
Rafaele et moi ne pouvions pas rater cela.
Même si cette exposition (cet étalage mercantile?) était un peu décevante (rien de tel que de se balader dans le quartier indien), j'ai pu apprécier cette reconstitution d'un cinéma de Bombay (avec un passage par les étoiles) et surtout regarder des oeuvres originales d'un artiste indien nommé Baba Anand.
De grands tableaux aux couleurs chatoyantes et très chargés aux motifs des divinités Indous ou à la gloire des stars de Bollywood.
Pour un aperçu de son travail, regarder ici !
Et c'est promis ! J'arrête avec Bollywood.

Chut !

Censure : Nom féminin du latin censura.
1 - Contrôle exercé par un gouvernement, une autorité sur la presse, les arts et spectacles, etc., destinés au public.
2 - Action de censurer, d'interdir tout ou partie d'une communication quelconque.
3 - Instance psychique qui empêche de désirs inconscients sous leur forme brute et provoque des travestissements dans le rêve. (Ha bon !?)

Nous vivons dans une société de censure et d'illusions, à tous les niveaux, des plus hautes sphères à la cellule familiale. On en est même arrivé à s'auto-censurer pour rester dans l'illusion du politiquement correct; pour pouvoir coller coûte que coûte à l'illusion d'image que l'on donne aux autres ou qu'on nous a donné.
La meilleure preuve de cet état de fait c'est qu'on nous fait croire que nous sommes gouvernés par un pantin dévisiculé et fantoche du nom de ... Ah zut ! Comment s'appelle t-il déjà... Gradin... Gredin... Crétin... Larbin... Radin... Petrin... Non ça ne me revient plus là... Bref... Mais chut, il ne faut surtout pas le dire... Ca ne se dit pas ces choses là.
Nous vivons dans une société de communications, avec forces médias de tous genres. On nous donne ainsi, l'illusion que nous vivons dans un monde ouvert et clair, transparent. Les journalistes sont libres de diffuser les informations qu'on veut bien leur donner. Un coup d'éclairage médiatique sur un point pour mieux passer dans l'ombre un autre point moins plaisant. Illusions ! On ne met pas nos journalistes en prison (nous sommes un pays civilisé et un pays de Droit de l'Homme, tout de même), mais nous les corrompons. Censure mais avec d'autres méthodes. Mais chut, il ne faut surtout pas le dire... Ca ne dit pas ces choses là.
Par la même occasion, jetez un coup d'oeil sur ce site ! Ca fait peur...

Le beurre.

J'aimerais trouver les mots pour dire tout ce que j'ai sur le coeur.
Exprimer ce que je sens et je ressens, sans reproche, sans peur.
Tels des papillons butinant mes sentiments comme des fleurs.
Images dorées et irisées; mots sucrés et acidulés; tout en saveur.
Choisir les mots, éloges sans heurts.
A ton âme, à ta beauté; à la vie et au bonheur.
Sans peur,
Sans heurts,
Sans leurre,
il n'y aura pas de pleurs
Avec des fleurs,
Avec mon coeur,
Avec saveur,
je celèbrerais tout mon bonheur.

14.5.05

Les bonbons

Une poignée de bonbons,
Donnés par un ami, un bon.
Des petits, des bons, des ronds.
Une poignée de bonbons,
A la franboise, à l'orange ou au citron,
Oubliés dans une poche de mon blouson.
La main dessus par surprise,
Un bonbon à la cerise.
C'est bon; c'est doux; ça fond,
Dans la bouche, comme un glaçon.
Ce plaisir donne des frissons;
Comme quand j'étais petit garçon.
Une poignée de bonbons.

Conversation formelle

Hier après midi, dans une rue que je croyais pietonnière mais qui ne l'était pas, finalement...

Rafaele (paternel, en voyant arriver une automobile) :
- " Mais monte sur le trottoir. "
Alexandre (enfantin) :
- " Pourquoi ? "
Rafaele (soucieux de ma santé) :
- " Pour garder ta forme éclatante..."
Alexandre (espiègle mais pas Candide) :
- " Bah ! A défaut, j'aurais une forme éclatée..."

13.5.05

Ou l'art et la manière de couper le cordon



Les portes claquent. Les sonnettes retentissent. Les portables trouvés en brocante sonnent. Les personnages passent, virevoltent, courent, s'agitent, s'évanouissent, se quittent, se retrouvent. Les répliques s'échangent, jaillissent, fusent, éclatents, tuent. Les meubles subissent les pires outrages. Emmanuelle Beart aussi.

Je t'aime; je t'aime... Moi aussi mais je te quitte mais pas encore mais bientôt mais pas là maintenant.
Le mariage c'est tellement bien mais la dot c'est tellement mieux.
Je ne vous aime pas mais ma mère oui... Ce n'est pas grave, cela reste en famille...
Cette adaptation cinématographique du vaudeville de Feydeau va à 100 à l'heure. Pas un temps mort. Les 1h20 du film sont passées à une vitesse incroyable. Bon, on en ressort pantelant de voir tous ces gens s'agitaient sur l'écran mais qu'est ce que c'est drôle... Et si le projectionniste nous avait passé le film en vitesse accélérée...
Les décors et les (tous) costumes (;-) p'tit clin d'oeil) sont magnifiques.
Voir Béart dans ce registre est surprenant mais en même temps elle enfile ce personnage avec un naturel déconcertant. Dominique Blanc (j'adore cette actrice) est excellente et Berling est... Comment dire... Je sais pas trop... Mais il est bien...

Un Fil à la patte de Michel Deville

Petite phrase de la vie n°5

- Qu'est ce qui va le mieux avec le champagne?
- Moi ! Moi, moi, moi ! Toujours moi...


In Ten Chi de Pina Bausch.

12.5.05

Un duo au soleil

12 Mai 2005 :
Ca aura été le jour de mon premier pique-nique de l'année 2005.

- " Faut faire un voeu alors "
- " Hum... Ca y est ! "
- " C'est quoi ton voeu? "
- " J'peux pas le dire, sinon il se réalisera pas ! "

10.5.05

Petite phrase de la vie n°4

"Passe moi le sel, histoire de donner un peu de goût à ma vie insipide".

Phrase qu'aurait pu dire Maïté dans la Cuisine des Mousquetaires.

9.5.05

Le paradis a la chaleur de l'enfer



- On se fait un film ce week-end?
- Oui, si tu veux...
- Tu veux voir quoi?
- Je sais pas... Tu veux voir quoi, toi?
- Je regarde dans le Télérama et je fais une liste des films que je veux voir... Ca te va?
- Ok !
Pas facile de s'accorder sur une séance cinéma, en ce moment, avec E.
Rien ne l'intéresse vraiment en ce moment. Il n'a plus envie d'aller au cinoche parce que ça ne le fait plus rêver.
Résultat : je fais une liste d'une quinzaine de films; un seul l'intéresse ! Ouf ! Je l'ai échappé belle... Mais le principal c'est qu'on va aller au cinéma ! Au Grand Ecran Italie, en plus (j'aime bien cette salle !).
Balian est forgeron de son état dans un petit village du royaume de France. Un homme simple pour qui tout ne va pas fort : il a perdu son bébé, sa femme et vient de griller le prêtre du village... Ah oui! La vie est rude à cette époque. Mais en même temps, tout n'est pas entierement pourri pour lui puisque son père (qu'il n'a jamais connu) arrive dans ce village et lui annonce à brule côte de maille (le pourpoint n'existait pas encore en 1184) qu'il est son père et qu'il veut qu'il le suive en Terre Sainte, où il a une baronnie dans les sables du desert... C'était ça aussi cette époque : une époque de miracles scénaristiques...
En 20 minutes, Balian devient fils de baron puis baron et Croisé au service du roi de Jérusalem tout en essuyant un naufrage... C'en est trop pour un homme simple.
Cette première partie de film est un peu clichéteuse (ça existe comme mot ça?) et ce n'est pas le meilleur du film, loin de là.
Là ou Ridley Scott réussit son film c'est dans la confrontation de deux mondes, deux civilisations, deux conceptions de la vie et de la religion.
Les Croisés n'ont pas compris qu'en transplantant leur société occidentale (avec leurs us et coutumes) au Moyen Orient cela empêcherait tout succés de leur mission.
On sent dans ce film une critique de la politique hégémonique (impérialiste) actuelle des Américains qui sous couvert d'une noble cause cherchent avant tout à faire pu profit. en effet, à un moment, le personnage de Jeremy Irons, gouverneur de Jérusalem, dit quelque chose comme : nous sommes venus avec de nobles causes (la défense de Jérusalem et ce que représente la ville pour la chrétienneté), nous sommes ici en fait pour faire fortune sur les richesses de ces pays. Cette auto-critique pourrait très bien coller sur l'intervention américaine en Irak : nous sommes venus libérer le monde d'une grande menace et surtout mettre la main sur la richesse de ce pays.
Le siège de Jérusalem par les Sarrasins est une pure merveille cinématographique : épique, grandiose et très belle visuellement et bien documentée historiquement (avec les grandes tours d'assaut; les catapultes...).
Un film bien réalisé, bien joué avec un scénario qui tient à peu prés la route et qui fait la nique à la vision ego-américaine... Ca suffit à en faire un bon film du dimanche après-midi.
Kingdom of Heaven de Ridley Scott

8.5.05

La suite... Enfin...


Six Feet Under - Saison 3

Enfin ! Ce soir, nous avons commencé à visionner la saison 3 de ma série télé préférée...
Alors ça commence par la ...
Nan ! Je ne dirais rien de plus ! Mais... Oh la la !!!

7.5.05

Carpe Diem



Il y a une semaine, Rafaele et moi visionnions dans le cadre du week-end bollywood Kal Ho Naa Ho.
Un pur film made in Bollywood avec tout ce qui fait le film bollywood : les chansons, la danse, le triangle amoureux, l'amour impossible, de la tragédie, des rebondissements improbables, des larmes; beaucoup de larmes, des rivières, des fleuves, des océans de larmes et les trois heures de film (impératif!).
Tout le cahier des charges s'y trouve mais transposé dans la communauté indienne de New York (d'où le titre français merdique, quand on sait que la traduction littérale du titre est "il n'y aura peutêtre pas de lendemain").
Une série de grandes stars adulées comme Shah Rukh Khan (il faut voir l'hystérie qu'il provoquait dans la salle!), Jaya Bachchan, Preity Zinta.
Un film de Bollywood ne se raconte pas; c'est trop compliqué à résumer. Ce film n'échappe pas à la règle.
Cependant, ce film a une originalité il surfe sur le registre de la comédie pendant environ une heure trente avant de retomber dans le côté obscur de la tragédie (oui, je sais l'épisode 3 de Star Wars me titille déjà). Une première partie donc enlevée avec un Shah Rukh hilarant (de la baltique... Tais-toi, Bébé!!!); des dialogues percutants; des scènes très drôles et des morceaux musicaux en complet décallage par rapport aux autres films que j'ai pu voir mais toujours très efficaces (on a le popotin qui bouge dans son siège, des fourmis qui vous demandent de vous dégourdir les jambes et les épaules qui font des gestes saccadés surprenants). Il faut ainsi voir la reprise très colorée de Pretty Woman et la scène de la discothèque où la gentille Naina se déchaine sur "Its the time to disco".
Dommage! Cette dichotomie est beaucoup trop franche, beaucoup trop artificielle, beaucoup moins maitrisée. Et nous avons eu le droit, dans la deuxième partie, à un raz-de-marée lacrimal avec comme responsable principal tout désigné, Shah Rukh (encore lui) qui pleure et pleure et pleure et pleure et pleure et pleure... On se demande où il va chercher toutes ces larmes. Le problème c'est que cette deuxième partie (dramatique) a le potentiel pour faire pleurer dans les chaumières mais la façon dont on nous le présente empêche de ressentir quoi que ce soit et (comble du malvenu) est parfois même risible tellement les ficelles sont grosses.
Mais bon, reste que le film est un très bon moment de cinéma. On en ressort tout de même heureux avec plein de morceaux de "Pretty Woman", "Its the time to disco" ou encore "Maahi Vé" plein la tête. Et puis, voir le film dans les conditions de samedi avec un public tout acquis et fana de cinéma bollywood qui chante, danse et frappe des mains; qui frise l'hystérie lorsque l'oeil rieur de kajol (autre star féminine réputée) apparait en caméo dans un groupe de danseuses ou bien la plastique parfaite de Rani Mukherjee dans un autre caméo dansé; qui défaillit dès que Shah Rukh Khan apparait sur l'écran (mais ça, je n'ai pas compris pourquoi!). C'était absolument incroyable et fabuleux.
Kal Ho Naa Ho de Nikhil Advani

The National Gallery

Même si le but de cette journée londonienne était avant tout le concert de Kylie Minogue, nous en avons aussi profité pour aller déambuler au National Gallery, tout près de Trafalgar Square. J'adore ce musée parce qu'il regroupe là des oeuvres que j'adore (beaucoup d'oeuvres du Titien ou encore des oeuvres des Italiens du 14ème et 15ème siècles; entre autre).
J'y suis allé avec plaisir parce je savais qu'il y avait une grande exposition qui me faisait de l'oeil depuis fevrier dernier : Le Caravage, les dernieres années.

Michelangelo Merisi Da Caravaggio - La Flagellation - 1607 - Eglise San Dominico Maggiore - Naples

Cette exposition regroupait 16 tableaux de la fin de la vie du Caravage, peints pendant son exil forcé de Rome.
Ce sont des oeuvres fortes, violentes et tourmentées qu'il a produit, à l'image de cette "Flagellation" peinte en 1607.
Je suis resté une bonne demie-heure à la regarder, la scruter, la détailler. Si j'avais pu, je me serais collé a 20 cm de la toile pour tout observer; chaque détails. Je la trouve tellement belle et forte cette oeuvre. Le visage du Christ inconscient, rougi par les coups (?); la force primitive et bestiale du personnage de droite qui attache les bras du Christ sur la colonne et qui cherche à plier ses genoux; le visage inhumain, avec ce rictus grotesque de masque de théâtre grec, du personnage en arrière plan qui tire les cheveux du Christ et qui a déjà en main un fouet de branches; l'attitude du personnage agenouillé qui prépare le fagot de branche qui servira, plus tard à battre Jésus. Cette lumière crue qui tombe sur le corps du Christ, encore intact, mais qui préfigure déjà les couleurs cadavériques. Et puis, enfin, je le trouve magnifique ce corps, cette position; le tissu blanc qui suggère plus qu'il ne cache; et un détail qui m'a frappé les tétons érigés du Christ... Super tentant...


Détail sur le corps du Christ

La visite de la National Gallery a été aussi l'occasion de découvrir un peintre contemporain que je ne connaissais pas du tout : John Virtue.

Landscape n°710 - John Virtue - 2003-04

Ce peintre a la particulatité de ne peindre qu'en noir et blanc (acrylique blanc et encre noire) de grandes toiles de plus de 3 mètres de hauteur s'inspirant de paysage urbanisé et les plongeant dans une atmosphère pré-industrielle avec des ciels très sombres et inquiétants, comme saturée par des halos de pollution. Je sais ce que j'aimerais avoir comme tableau à la maison sur notre grand mur blanc... J'économise une vingtaine d'années et je pourrais m'en payer un.

La chanson des nuages

Tapis cotonneux?
Epais duvet blanc?
Matelas géant de plumes d'eiders?
Volupteux fouillis de tulles et de dentelles?
Montagne de crème chantilly?
Non!
Ciel nuageux vu d'un avion.

I believe in you

6.5.05

Pour mon plaisir...

Mon Bébé est formidable...
Se démener comme il l'a fait pour organiser cette journée à Londres, malgré les obstacles, en est une belle preuve.
Vivre comme un coq en pâte, l'espace de 24 heures, parce que c'est MA journée; c'est MON anniversaire. Tout a été arrangé pour ME faire plaisir.
Non, vraiment, mon Bébé est formidable...

Petite phrase de la vie n°3

"Si jamais tu me touches... Je me couche."

In Ten Chi de Pina Bausch

Bobo attitude

Que fait un bourgeois bohème (puisqu'il faut bien nous qualifier ainsi) lorsqu'il rate un concert parisien d'une de ses stars préférées (qui n'est pas bobo mais plutôt gogo, elle)?
Il profite d'un jour férié pour :
- se lever à 7h00, le matin;
- Se rendre à l'aéroport Roissy Charles-De-Gaulle, à 8h15;
- Décoller à 9h45 en direction de London City;
- Atterrir à 9h45 (heure locale) à Heathrow;
- Visiter à 12h30 une exposition TANT vantée par Télérama, Libération et les Inrockuptibles;
- Déambuler quelques petites heures dans les boutiques de musique entre Leicester Square et Picadilly Circus;
- Ecrire une carte postale sur la table d'un Starbuck Café de Leicester Square, en buvant un Caramel Macchiato;
Bah ça fait pas très bobo le caramel macchiato de Starbuck!! Ben non, je sais mais j'aime bien ça moi... ! Ah bon? Ben oui...
- Découvrir la dite "une de ses stars préférées" sur la scène du Earls Court avec 4999 autres personnes (au moins) et chanter à tue-tête "It's in your eyes".
Et puis rentrer le lendemain matin, toujours par avion, parce que le bobo, il a un travail et qu'il ne fait pas le pont, ce qui l'empêche de passer plus de temps dans cette belle ville.
- C'est pas facile, finalement la vie d'un bobo...
- Quand je vous le dit...

Petite phrase de la vie n°2

"Je ne comprends pas : personne ne me comprend. Vous comprenez?"

In Ten Chi de Pina Bausch

Presque peut-être

Mardi soir, billetterie de la Fnac Montparnasse, retrait des places de différents concerts, au mois de mai et juin.

L'agent de guichet, commentant un à un nos spectacles :
- Les Presque Oui? Il parait que c'est pas mal...
E., qui ne connait pas trop le groupe mais qui doit dire quelque chose :
- Oui! C'est un peu minimaliste comme musique mais c'est pas mal...
L'agent de guichet, pragmatique et/ou goguenard, je ne sais pas trop :
- On va dire que ça fera presque un concert, alors...

Grrr !! Pffff !! Pauv' mec...

4.5.05

Le Ciel et la terre



Une nouvelle pièce de Pina Bausch...
Une nouvelle pièce géographique de Pina Bausch...
Une nouvelle fois, la première vision est assez hermétique... Il y a toujours une phase d'adaptation, d'observation avant de pouvoir exprimer une quelconque émotion, le moindre sentiment en regardant pour la première fois une pièce.
A cette première vision, je ne peux pas dire si j'ai aimé ou pas. Je suis en attente...
Les solos (puisqu'il semble qu'elle privilégie les solos aux ensembles, depuis quelques pièces) sont quasiment tous bien (avec les toujours géniaux Ditta, Julie Anne, Kenji, Dominique, Regina et Azusa).
Il manque cependant (mais encore une fois, à la première vision) la magie ou la force ou même la folie de certaine pièce.
Le décor et la gestuel sont de plus en plus dépouillés.
Une nouvelle pièce de Pina Bausch...
Une nouvelle pièce géograhique de Pina Bausch...
Une nouvelle pièce géographique et lisse de Pina Bausch..
J'espère que la deuxième vision sera plus emballante que cette première.
J'espère bien renouveller le choc de Néfès, l'année dernière.

Ten Chi de Pina Bausch

Petites phrases de la vie n°1

Nous nous sommes désagrégés en toi et moi.

in Ten Chi de Pina Bausch

Happy Birthday To Us !

3.5.05

Pensée du jour

NAMASTE* !

Et si on rajoute "toi", à la fin (namasté toi), c'est une blague...

Pensée indoue Alexandrine

* Que la paix soit avec toi

2.5.05

Rêve d'enfant



Ca doit être bien d'être un Mickey Mouse...

Chronique indienne n°2

Voila, le week-end est terminé... Déjà terminé... Comme cela a passé vite...

Je ne saurais dire ce que j'ai le plus aimé :
- Kal Ho Naa Ho, c'est certain mais cela fera l'objet d'un autre poste.
- L'ambiance : voir un film Bollywood avec un public chaud qui chante, applaudit, crie et danse, ça donne un autre aspect à ce type de film.
- Le "Namasté" d'arrivée avec le petit point de Tika sur le front.
- Rafaele.
- La Famille Indienne qui a bien failli m'arracher une larme (mais cela aurait été une goutte lacrimale dans l'océan de pleurs que nous avons vu ce week-end).
- Le Trianon et sa décoration.
- Bollywood.
- Shah Rukh Khan, acteur qui provoque une hystérie assez surprenante sur le public, lorsqu'il joue dans le registre comique.

Je sais par contre ce que je n'ai pas aimé :
- La chaleur et le confort de la salle;
- Le présentateur (pathétique);
- La longueur des journées : c'est dur de faire deux journées de 10 heures avec deux films de plus de trois heures à chaque soirée;
- Shah Rukh Khan, acteur qui provoque une hystérie assez surprenante sur le public, lorsq'il joue dans le registre lacrimal. Il a la particularité de pleurer abondamment et suinte des larmes par tous les pores de son visage et tremble beaucoup de la lèvre inférieure (et du visage en entier d'ailleurs) lorsqu'il pleure.