30.1.06

Questionnement # 16

Est-ce que ces 11,50 Euros gagnés vendredi marquera le début de la fortune?

Oreilller en plumes de cygnes

la nuit fut encore une fois très courte et morcelée.
Ce matin, lorsque le réveil a sonné, j'ai tout le corps qui a rechigné à se tirer de la douce torpeur du sommeil dans lequel il était plongé depuis trop peu de temps. Il crie, il est fatigué. Ce matin, sont apparues des douleurs comme des courbatures dans les cuisses et les épaules; il commence à manquer de substance et se sent vieux.
J'ai le moral dans la brume. Autant le corps est facile à forcer avec la douche froide qui semble être devenue mot lot matinal, il rechigne, il grelotte mais se rebelle et retrouve, par conséquent, le courage de se réveiller pour dire : "eh mais ça va pas la tête, je n'ai pas mérité cela; pas ça en plus de tout le reste". Mais au moins, il est réveillé. Le moral, par contre, ne suit pas et reste de plus en plus ensommeillé. Inexorablement embrumé. Et lui, plus il est dans la brume, moins il a la force de retrouver le sourire.
Courage, moral, je te promets de retrouver les bras de Morphée et de les garder, par la force s'il le faut. Promis, tu retrouveras le sourire.

Avant...

... J'étais cygne
Et toi? Avant?

Constatation # 53

Il est 1h00 du matin. En ce lundi 30 janvier 2006, un véritable marathon de l'amitié va envahir joyeusement ce grand espace qu'est ma maison. Bienvenue à vous mes amis. Soyez acceuillis dans notre demeure, les bras et le coeur ouverts. Que ce marathon dure le plus longtemps possible.

29.1.06

Aspirations inspirées

Depuis quelques jours, je me prends au plaisir de me laisser flotter sur les inspirations d'un petit Diable. Je me laisse porter au gré de ses envies musicales du jour et je découvre ou pas de nouveaux horizons. Qu'ils soient légers ou pas, ces instants partagés sont autants de moments privilégiés qui unissent par delà les distances deux individus qui se connaissent à peine. Depuis quelques jours, je me laisse guider vers ses goûts musicaux, finalement pas si éloignés des miens; complémentaires peut-être.
Aujourd'hui, je me suis surpris à plonger sans retenu dans ces nouveautés, joli bouquet d'inspirations du petit Diable gentil et au coeur d'or qui a accepté de se livrer sans complexe à cet échange musical; accepté de livrer une parcelle de lui même, pour mieux se connaître, ou plus certainement aider à tisser la trame d'une connaissance plus intense, amicale. Un pis-aller de qualité avant une connaissance plus parfaite. Je le souhaite, en tous cas.

28.1.06

Coup au coeur


Alors ce film est très fort. Un film qui m'a remué autant que "Quand la mer monte". Un petit film sans battage médiatique sorti dans l'indifférence quasie générale avec en tête d'affiche deux grandes dames du cinéma anglais Judi Dench qui joue le rôle d'Ursula (la malicieuse "M" de la série James bond, je sais c'est complètement réducteur de ne parler que de ce rôle mais c'est le plus susceptible de parler à tous) et Maggie Smith (la stricte professeur Minerva McGonagall de la série Harry Potter; je sais c'est complètement réducteur de ne parler que de ce rôle mais c'est le plus susceptible de parler à tous). On y retrouve avec toujours autant de plaisir (des yeux) le jeune acteur allemand Daniel Brühl (héro de Good Bye, Lenin !) dans le rôle d'Andrea.
Deux femmes d'un certain âge, anglaises jusqu'à la tasse de thé, vivent paisiblement dans une magnifique maison surplombant les côtes de la Cornouailles. La vie se déroule paisiblement autour d'un rituel immuable typiquement anglais. Cette douce quiétude va être perturbée par la découverte d'un jeune homme, Andrea, inanimé sur une la plage, en bas de la maison, un matin, après une grosse tempête. Les deux femmes vont s'occuper à remettre sur pieds ce jeune Polonais, violoniste virtuose qui a fuit son pays.
Malgrés les conditions sonores (perceuses et marteau en arriere son) et olfactives (sandwich paté, je pense) déplorables pour une chaîne de cinéma telle qu'UGC, je me suis laissé happer par le charme serein et minimaliste de ce film. Pas de grandes esbrouffes; pas d'actions importantes et inutiles. Juste une tranche de vie, simple et belle. Tout est dans la pudeur d'un regard. Un film anglais.
Et puis il y a la musique. Une musique essentiellement basée autour du violon avec des pièces de Debussy, Massenet, Paganini. Et un magnifique morceau final composé par Nigel Hess, Fantasy for violin and orchestra, qui clôture le film de façon magistrale. L'écoute de ce morceau a aussitôt ouvert mes vannes lacrymales (pas que les miennes d'ailleurs).
Juste un conseil, ne passez à côté de ce film. Cela serait passer à côté d'1h45 de plaisir intense. Ce qui est assez rare au cinéma, ces derniers temps.
Les Dames de Cornouailles de Charles Dance

Queens ibériques


Mais qui sont les veritables Reinas de ce film? Les six jeunes homos, la veille de leur mariage (les premiers mariages gays espagnols)? Ou bien les mères de chacun des jeunes gaçons? On ne sait pas trop bien qui tire le plus son épingle du jeu de ce petit et gentil film espagnol qui lorgne sans toutefois jamais y parvenir (et loin s'en faut) vers la réalisation hystérique du maitre de la movida madrilène, le bien nommé Pedro Almodovar. Le réalisateur ne s'y est pas trompé, d'ailleurs, en recrutant les égéries du Maître (Veronica Forque vue dans Kika; Carmen Maura; Maria Paredes). Et les actrices ne se font pas prier en jouant à la façon d'Almodovar; mais sans pour autant parvenir à ne fournir qu'un vague capharnaüm jamais maitrisé par le réalisateur. Les jeunes acteurs sont beaux mais assez peu convainquants.
Un sujet sur les mutations des moeurs chez nos voisins ibériques traitées de façon enlevé et sur le mode de la comédie populaire sans temps morts qui se laisse regarder avec plaisir (surtout grâce aux actrices : Veronica Forque en nympho est rénial) sans toutefois laisser un grand message philosophique et social. Un film qui accumule des rebondissements sans jamais les traiter jusqu'au bout (le mouvement social de l'hôtel par exemple). Une chose est cependant méritoire. Pour une fois, l'Homo n'est pas une caricature burlesque et stupide, effiminée etc... Enfin, on nous présente des garçons pas comme les autres © "normaux" (si la normalité a à faire ici).
Une réflexion tout de même traverse notre esprit à la vision de ce film. Quelques pays européens ont décidé de donner un bon coup de pied dans les moeurs sociales établies de leur pays en acceptant le mariage homosexuel. Et nous, Français, sommes nous aussi réfractaires à toutes idées de changement?
Allez Ségolène ! Ca pourrait être une bonne idée de programme ça. Non?
Reinas de Manuel Gomez Pereira.

Pronostiques

La séléction pour les César 2006 du cinéma français a été dévoilée vendredi. La cérémonie aura lieu le 25 février (je préviens tout de suite le Monseigneur E., que nous n'écourterons pas la visite de la capitale des Belges pour voir les résultats).
La séléction est ici !
Pronostiques?

Ephéméride

Aujourd'hui, c'est la fête à quelqu'un de bien; de très bien même. Bonne fête mon Petit Loupiot.

En première partie

Lundi soir était le soir de Clarika. Comme souvent pour moi, je m'inquiète pour savoir si il y aura une première partie et qui passera.
J'aime bien les premières parties quand je vais voir un concert. C'est comme un amuse gueule, un avant goût surprise, avant de pouvoir écouter celui (ou celle) pour qui je suis venu. J'ai de très bons souvenirs de premières parties. De vrais moments magiques à l'émotion intense.
Je me souviens de cette première partie de concert de Carla Bruni où j'ai découvert un jeune chanteur suisse blond et envoutant. Je suis resté tellement subjugué par ce charmant Jérémie que je ne garde rien d'autre en souvenir sur ce concert et surtout rien du concert de la Carla.
Je me souviens aussi de cette première partie de concert de Benjamin Biolay. Une petite brunette chantait une jolie balade. Je ne savais pas qui c'était jusqu'à la fin de sa prestation mais j'ai trouvé cela génial. Il s'avère que c'était Daphné que j'avais découvert rapidement, au réveil, le matin même sur France Inter. J'avais beaucoup aimé le morceau mais incapable de me souvenir du nom... Il y a des hasards parfois...
Pour en revenir au sujet des premières lignes de mon propos, lundi, je me demandais bien qui pourrait assurer cette première partie de la Belle Clarika (ben si je la trouve jolie). Pas d'informations dans le hall de la Cigale. Ca serait donc une surprise. Le sage E. me souffle en plaisantant que ça serait drôle que ça soit Jérémie Kisling. Juste au même instant, les lumières de la salle se sont éteintes, laissant juste un halo de lumière sur la scène où un garçon au chapeau est entré en ombre chinoise. Le silence s'est fait dans la salle. Et le chanteur a commencé à chatouiller sa guitare. Dès les premiers accords, j'ai reconnu le petit chien guidant les pas de son maître aveugle. J'avais Jérémie Kisling devant les yeux. Je n'en revenais pas (et ne m'en suis toujours pas revenu). Je suis bien resté 1 minute, bouche bée, les yeux grands ouverts de surprise. Tout juste si je n'ai pas demandé à E. de me pincer pour me prouver que je n'étais pas en train de rêver les yeux ouverts; pour y croire.
La soirée magique était lancée et elle a duré jusque tard, sur scène et dans ma tête, le concert terminé, avec les belles images que j'avais volé ce soir là.

Loin

Juste une goutte de ton parfum pour m'accompagner quand tu es loin de moi.

Pensée du jour.

Le petit hérisson est sorti de son hibernation. Espérons que les températures actuelles ne le fassent pas retourner dans sa tanniere.
Pensée (animalière) Alexandrine.

Constatation # 52

Avec ce temps, les dindes doivent être congelées et ne traînent plus dans les salles de cinéma.

27.1.06

Questionnement subsidiaire

Quelle est la probalité pour que ce dieu vivant (encore lui) me regarde, alors qu'il ne m'a pas capté ce matin?
Zéro?
Merde ! Je m'en doutais !

Questionnement # 15

Quelle est la probalité de voir le même dieu vivant deux fois dans la même journée, à deux endroits différents, dans une ville de quelques cinq millions d'habitants et aux heures de pointe?
Je ne sais pas. Je suis nul en calcul. Tout ce que je sais, c'est que j'ai eu cette chance...
Ah je le sens bien l'Euromillion, pour ce soir...

Chabadabada

Il est entré dans la rame, carré, sûr de lui, dans un ralenti cinématographique; captant toutes les fades lumières de la station de métro. Il s'est planté devant moi, gigantesque, les écouteurs sur les oreilles; la jambe gauche légèrement repliée.
Les cheveux ras quelque peu clairsemés sur le sommet du crâne. Une nuque vértigineuse qui donnait envie de plonger ma main entre ses homoplates que je devinais vigoureuses.
Le visage taillé à la serpe; carré. Un teint hâlé, sans doute par un récent séjour dans les poudreuses d'une quelconque station de ski, et les joues rougies par le froid piquant de cette matinée d'hiver. Un nez qui aurait fait se rhabiller l'Hermes de Praxitèle; la bouche invitant aux plus tendres des baisers; un regard aussi lumineux qu'un ciel pur d'hiver.
Les dieux vivants existerait-il vraiment? Je me suis pris à y croire devant cette beauté hypnotisante. J'avais devant moi, l'objet de mes fantasmes les plus fous.
Mais comme toujours, les fantasmes ne correspondent pas point par point à la réalité.
Celui ci lisait l'Equipe... Et il n'a pas levé le moindre regard vers moi...
Pour information, cet Apollon travaille dans la même société que moi...

25.1.06

A mes amis

L'amitié !
L'amitié... Oui l'amitié !
Tout simplement, l'amitié.
Ce n'est pas compliqué, l'amitié;
Ca ne s'explique pas, l'amitié.
C'est comme ça, l'amitié.
Ca se vit sans détours, l'amitié.
L'amitié, elle vient comme ça.
On l'attend pas l'amitié;
Et puis elle est là, l'amitié.
On échange tellement avec l'amitié.
L'amitié !
Oui, l'amitié !
Ce n'est pas bien compliqué, l'amitié.
Il suffit juste de se laisser porter par l'amitié.
Oui l'amitié.

24.1.06

Constatation # 51

Quand je disais qu'il me fallait prendre une douche froide ce matin, ce n'était qu'une façon de parler. J'ai très mal vécu la transition d'eau tiédasse à eau froidasse. Mais l'effet escompté en le disant a été direct et bien réel.

23.1.06

Sur un quai de métro

Regarde le petit homme, là, sur le quai de la station de métro.
Regarde le. Vois comme il est ridicule à parler fort et avec véhémence devant ce public d'anonymes.
Regarde le. Ecoute comme il est stupide à cracher ses mots et ses menaces qu'il ne pense même pas.
Regarde le. Observe le. Il s'énerve tout seul. Vois comment il alimente sa colère avec sa propre colère. Un cercle infini vers une colère sans fin.
Regarde le, ce petit homme au visage déformé et blafard.
Regarde le arpenter ce bout de quai nerveusement. Remarque ses pas qui respirent l'énervement injustifié.
Regarde le. Observe le. Voit ces hochements de la tête qui montrent qu'il ne comprend pas, ne comprend plus ce qu'il se passe.
Regarde le se mordre les lèvres, comme pour retenir des mots sans fondements. Il se force à les retenir dans sa bouche. Il y en a tellement dedans, qu'elle en est devenue pateuse, la langue lourde, la gorge ulcérée. Mais il les retient parce qu'il sait qu'il ne doit pas se laisser emporter par cette vague déferlante.
Regarde le, ce petit homme. Il semble malheureux d'agir comme cela mais il ne parvient pas à se calmer. Vois-tu, s'il avait une cigarette et le droit de fumer dans cette enceinte, il se calmerait tout de suite. Mais il ne peut pas. Il va devoir se ventiler en respirant en longues goulées d'air.
Regarde le. Il va déjà mieux. L'orage passe. Il se rapproche, la tête basse, conscient d'avoir été ridicule.
Regarde le. L'orage est passé.
Lorsqu'il sera rentré, il boudera encore un peu pour le principe. Mais il reviendra et l'embrassera en s'excusant.
L'orage sera passé pour ce petit homme que tu vois, là, sur le quai de la station de métro. Ne trouves-tu pas cela dommage?

Questionnement # 14

Pourquoi faut-il que je prouve à ma Zabounette que je l'aime par des chamailleries et des moqueries plutôt que par de douces intentions et des mots tout aussi doux?

Redondance

En réponse à David.
Je ne m'en lasse pas !


J'laisse les étoiles
Agir en silence
Dans leur toile
Je danse
J'laisse le jeu des vagues
Agiter ma vie
Et je largue
L'envie
Et je joue à contre-temps
Loin de la route
Et face au vent
J'veux des flammes
Dans mes voiles
Qu'elles montent dans les cieux
Que quand je plane
Les étoiles
S'enfoncent dans mes yeux
Que mon âme
Se dévoile
Et qu'elle respire un peu
Que l'on danse et si ça s'étend
C'est tant mieux
J'laisse le vent des plaines
Laver mes épaules
Et ma peine
S'envole
J'laisse les brins d'herbe
Reposer ma tête
Et je rêve
Que le temps s'arrête
Et je joue à contre-temps
Coûte que coûte
Et je joue comme un enfant
Loin de la route
Et face au vent
J'veux des flammes
Dans mes voiles
Qu'elles montent dans les cieux
Que quand je plane
Les étoiles
S'enfoncent dans mes yeux
Que mon âme
Se dévoile
Et qu'elle respire un peu
Que l'on danse et si ça s'étend
C'est tant mieux
Les Etoiles - Jérémie Kisling - Le Ours

Constatation # 50

Diantre ! Le magnétoscope n'est plus en état de fonctionnement.

22.1.06

Coup de gueule

Si je recroise les deux dindes de ce soir je leur fous ma main sur leur bec pour m'avoir gâché mon film; pour m'avoir gâché ma soirée; pour m'avoir gâché ma fin de week-end.

Pensée du jour

Le tout, c'est de ne se fermer aucune porte.
Pensée (je garde le trousseau de clés) Alexandrine.

Considération personnelle # 7

T'es pas net dans la tête,
T'as le cerveau qu'est plein d'eau.

21.1.06

Douche écossaise

Il y eu la révélation Clarika il y a quelques mois lorsque Rafaele me passa cette sublime chanson, mainte et mainte fois écoutée depuis (pour le plus grand malheur du sage E.).
Rafaele - Clarika - Alexandre. Un Trio qui est devenu normal depuis qu'une autre de ses chansons a symbolisé notre amitié. Il était donc évident d'aller la voir sur scène, pour une première fois époustouflante, au Divan du Monde au mois de novembre dernier.
C'est à partir de là que les choses ont commencé à changer.
Il y eu, d'abord, la grande joie de découvrir, à la fin de ce concert, qu'il y aurait un autre concert le 23 janvier à la Cigale. La joie de se dire, quasiement en simultanée, qu'il fallait qu'on fasse découvrir à nos moitiés (ou ex) respectives cette chanteuse hors du commun.
Puis vint la déception; celle de découvrir dans un cri gutturalement exagéré, que je travaillais le 23 janvier jusqu'à 23h30 et que je n'arriverais pas à modifier mon horaire pour aller assister au concert.
Puis vendredi, le bonheur revint avec force gestes d'allegresse et danse de la joie ultime (tout cela intérieurement au travail puis résolument démonstrative à la maison), lorsque par un tour de passe-passe de planning, je retrouvais une soirée de liberté ce lundi là, me permettant d'aller la voir. Joie multipliée d'abord par deux, quand E. (qui déteste pourtant Ca s'peut pas, j'insiste) accepta de m'accompagner au concert; puis par trois, lorsque Rafaele releva le défi de venir en coup de vent impromptu sur Paris pour venir avec nous. Le Trio était reformé; la normalité reprenait son droit. La place fut aussitôt réservée.
Coup de vent frais ce samedi matin, Rafaele, finalement ne pourrait pas se déplacer. Trop peu de temps pour s'organiser. Déception. Désolation. Pas encore damnation. Et pourtant j'ai essayé de faire changer le sort, tel un Superman tentant de rendre à la vie sa bien-aimée, mais rien n'y fit... Quand on n'est pas Superman, on n'est pas Superman. Le Trio ne serait pas, cette fois.
Pourtant, une mission m'incombe. Adoubé par la toute puissance rafaelienne, je dois porter les bonnes paroles Clarikiennes à deux non initiés. "Sieur E. et Sieur Eltan, vous serez mes novices encore une fois ce soir là. Faites moi entière confiance, Clarika ne saurait vous décevoir. Ayez cependant à l'esprit que dans cette salle, un pauv' petit loupiot nous manquera".
Me manquera...

Pensée du jour

Il y a ceux qui prévoient de faire les soldes mais qui, finalement, au dernier moment, n'ont plus le courage d'affronter les foules. Et il y a ceux qui n'ont absolument pas prévu de faire les soldes mais qui, finalement, au dernier moment, ont la folie d'entrer dans un magasin et de repartir avec trois vestes (dont une à moumoutte), deux jeans et trois tshirts.

Pensée (C*) Alexandrine.

De l'art et la manière...

... De me prendre pour une cruche.

Mercredi soir, les yeux rivés sur MSN (comme cela ne m'arrive jamais), je vois se connecter un copain que nous aimons particulièrement bien, E. et moi, un garçon à fleur de peau douce que je nommerai So Slowlite pour lui garantir un certain anonymat (tout relatif, je le crains). N'ayant pas eu de ses nouvelles depuis un temps certain, je me suis donc précipité vers son profil pour lui passer le bonsoir.

Alexandre :
- Salut ptit loup !

(5 minutes de silence)

Alexandre :
- Ca va?

(De nouveau long moment de silence montrant clairement qu'il est occupé (ou qu'il ne veut pas me parler dirait mon esprit parano et torturé)

Alexandre :
- Bon, tu dois être occupé. Je te souhaite une bonne soirée. Bisous.

Et je coupe la fenêtre de mon utile MSN en me posant des questions torturantes sur "le pourquoi du comment cela se fait-il alors que... Ben non, vraiment je vois pas..." Vous voyez ce que je veux dire? J'en étais là de mes gratouillettes de cerveau quand une petite fenêtre orangée m'annonce que So Slowlite m'envoie un message. " Chouette ", me dis je au (tre)fond de moi même.
So Slowlite :
- Slt ! Désolé ce n'est pas So Slowlite...
Alexandre (toujours très finaud) :
- Ah c'est le chien de So Slowlite, alors? lol
So Slowlite :
- Non ! C'est la co-locataire...
Alexandre (chique coupée) :
- Oh Désolé ! Je ne savais pas...
(ben, il a une colocataire maintenant? Dis donc, ils sont intimes parce qu'elle utilise tout de même le profil de notre So Slowlite tout de même).
So Slowlite :
- Pas grave !
Alexandre (la queue entre nulle part et ses jambes) :
- Bonne soirée, alors !
So Slowlite :
- Merci ! Bises à vous deux, les loulous...
Alors là ! Je suis vraiment rester sur le cul. Parce que par cette dernière phrase, je savais pertinemment que ce n'était pas une co-locataire que j'avais en face virtuelle de moi mais bien So Slowlite qui se foutait carrément de ma gueule virtuellement... Moment de colère vite remplacé par un sourire d'abord rictussé puis franchement hilarant (de la baltique ! Hihihi ! Tais toi Grand E.). Il est parfois très con So Slowlite. Il lui suffisait simplement de ne pas répondre s'il ne voulait pas parler... Mais non, il s'invente une histoire de colocataire et n'est même pas capable de la tenir jusqu'au bout.
Je laisserais la conclusion au Grand E., quand je lui ai raconté cela :
"Il est vraiment cruche".
Une cruche qui essaie de me faire passer pour une cruche...

Mot de Chérubin

- On va aller dans le train? Là ou il y a des vers de terre?
Chérubin demandant si on prendrait le métro.

Entre E.

Le Petit E. :
- Tu vas où, tonton?
Le Grand E. :
- Je vais faire une course.
Le Petit E. :
- Ben, j'espère que tu vas la gagner...

20.1.06

Fin de chaîne.

A la demande de Khoyot, voici mon Carré de 7 :

7 choses que vous voulez faire avant de mourir
Bien vivre
En profiter
Faire un tour du monde (voyager en généralité)
Acheter une maison dans le Perche
Pardonner à tous ceux qui m’ont offensé
Retourner au Mans sans ressentir ce malaise actuel
Ecrire. Ecrire. Ecrire.

7 choses que vous faites bien
L'amour (enfin j'espère)
Les escalopes normandes
Ecouter
Masser
Aimer les autres
Me faire avoir
Survivre finalement

7 choses que vous ne pouvez pas / ne savez pas faire
Dire non !
Manger de la cervelle de mouton.
Garder secrète une surprise
Me trouver pas si mal après tout.
Monter sur un escabeau sans avoir les jambes qui flageolent
Faire des choses tout seul
Relativiser

7 choses qui vous attirent chez les garçons pas comme les autres ©
Ses yeux
Ses fesses
Son sourire
Sa capacité à me faire rougir
Son aura
Sa voix (ténébreuse merci)
Sa gentillesse

7 choses que vous dites souvent
Oui
Bon ok
Ne rien dire quand je fais ma caboche de cochon.
Voilà, voilà
Hé dis !
On ira ?
C’est pas gagné !

7 béguins pour des célébrités
Ewann McGreggor
Jude Law
Jeremie Kisling
Stéphane Rideaux
Kristin Scott Thomas
Ben Affleck
Brad Pitt

7 bloggueurs à qui vous passez la main
Cette
Chaîne
Ne
Passera
Pas
Par
Moi

19.1.06

Putain ! J'vais m'taper les nains



- Heureusement que je suis un mec ! Ca m'aurait fait mal !

- Pff ! Va te coucher bécasse !

Un grand merci Rafaele pour ce lien.

Constatation # 49

Cruche !
On me prend pour une cruche !

Rêver

Rêver d'être riche et célèbre.
Rêver de gagner cette super belle cagnotte vendredi.
Penser au jeu " on ira ".
Rêver qu'on ira.
Rêver que tout devienne réalité.

Considération personnelle # 6

Un minimum de considération envers ma personne me serait extrèmenent profitable.

Questionnement # 13

Ai-je des choses à me prouver pour écrire en anglais aujourd'hui?
Mais non, ce n'est que du snobisme gratuit et bien présompteux !
Tant pis...

... Et bulles de champagne

Today, another of my friends have his birthday. So happy birthday joli boy à fleur de peau douce. And i hope to see you soon... Maybe...

Gâteau d'anniversaire...

Today, it's your birthday, Little Brother. So ! Happy Birthday and see you soon to drink for your good health.

17.1.06

Pensée du soir.

Vive les hot dog.
Pensée (babines pourléchées) Alexandrine.

Menus plaisirs simples

Quand après une journée de travail intensive et laborieuse; une journée qui fait peser sur mes frèles épaules toutes les peines du monde, tel un Atlas de pacotille; une journée où je me sens làs de tout, sans envie, vidé de toutes parcelles de courage. Après ces journées là, je ne connais rien de mieux pour me remonter le moral que de m'arrêter chez mon boulanger et d'acheter une demie baguette bien fraîche et croustillante (mais pas trop cuite) et une douceur à la compote de pommes de préférence (mais le flan nature fait très bien l'affaire). Tout cela pour me préparer un goûter de quatre heures, à la bonne heure (à la bonheur, comme je comprenais quand j'étais petit) qui pourra enfin me faire redresser la tête hors de l'univers aqueux et visqueux du travail.
Je m'installe sur un bout de la table, celui qui est le moins chargé et je goûte, tout simplement, silencieusement et sereinement. Pendant ces quinze minutes là, je crois bien que je n'existe plus pour personne. Il n'y a plus que moi au monde. Moi et ma baguette, mon camembert (eh oui, je suis Normand) et mon chausson aux pommes ou mon flan nature.
Au fur et à mesure que je remplis mon estomac, ma tête se vide de ses soucis professionnels, comme quand j'étais enfant et que je mangeais tout seul, à l'écart de mes soeurs, mes tartines de chocolats ou de confiture.
Ce n'est qu'après ces quinze minutes de décontraction ultime mais nécessaire que je renais tranquillement à la vie des hommes et que je peux reprendre le cours normal de ma journée qui se termine.
Aujourd'hui, ce petit goûter m'a été bien bénéfique pour remonter la pente des huit heures passées au travail. J'ai failli m'effondrer, raide mort de fatigue mais ce quatre heures improvisé m'a été bien salutaire.

Sache que je ...


Pour s'aimer,
Il existe de tendres liens
Qui font goûter les moments exquis,
La minute douce où l'on dit :
Je n'aime que toi, chéri...
Charles Trenet - O Mon Maître

Trop bon


Ceci est un objet de triture capillaire

A suivre...

Site officiel de Joseph D'Anvers en cliquant sur la photo

Cela a commencé, comme bien souvent, par une photo dans le métro. Une photo qui accroche l'oeil puis un nom que l'on retient dans sa tête avant de le noter sur un bout de papier pour ne pas le perdre dans les arcanes de la mémoire. Joseph D'Anvers. Et puis voila, le nom est noté quelque part mais le papier est oublié quelque part aussi.
Samedi, visite éclair à la Fnac de Caen, mais là en écoute, une photo qui m'interpelle. Toujours la même mais en plus petite. Et je vais enfin pouvoir mettre une voix sur ce physique.
Patatra.
Une voix douce. Des textes ciselés. Des arrangements intimistes.
J'aime. J'adore. J'achète.
J'écoute solitairement dans le même métro, ce matin.
Sauf que maintenant, avec sa voix dans les oreillettes, je fais des sourires à la photo qui m'avait interpellé il y a une semaine.
Joseph D'Anvers - Les Choses en Face - Atmosphériques - 2005

Clin d'oeil

Il n'avait pas besoin de cela pour être une personne d'exception, mais son adoration toute récente pour Jérémie Kisling fait de Father Lucifer un être exceptionnel.

16.1.06

Memoranda


Celles et ceux qui connaissent un peu les Dames du Manoir savent qu'elles n'apprécient que ce qu'il ya de meilleur. Samedi encore, elles nous l'ont prouvé à Caen. Au coin d'une rue Froide, une librairie d'occasion sur deux étages. Endroit exigü, bourré de livres de tous les ages. Un véritable trésors aux senteurs de vieux papiers jaunis. Rien que pour sa fonction première, cette boutique vaut le coup d'oeil. Mais comme dans l'effet Kiss Cool, cette boutique délivre un deuxième bienfait. Après le plaisir des sens intellectuels, il y a au second étage de quoi rassasier les sens gustatifs. Cheese cake, tarte meringuée au citron, scones, fondant à la mousse de chocolat... Chocolat chaud à l'ancienne onctueux, thés de Mariages Frères... Assis sur de petites chaises en fer, autour d'une petite table ronde du même fer blanc, tous les sens en éveil.

Constatation # 48

J'ai perdu le joli poème fromager. Je n'ai plus que les algues pour pleurer.

COUCOU ELVIRE

Enigme volante

Si la jungle était au nord, ça ne serait pas en Renaud qu'elle serait arrivée.

Questionnement # 12

Qui a piqué mes 103 millions d'euros? Hum?

13.1.06

Pensée du jour

P'tête ben qu'oui ! P'tête ben qu'non !
Pensée (ah qu'elle est verte ma Normandie) Alexandrine

Constatation # 47

Dans deux minutes, il est 13h30. L'heure du café.
Ca n'a aucun intérêt en fait... Mais tant pis !

Mémo du jour

Penser à valider mon gain de 103 millions d'Euros.

12.1.06

Constatation # 46

Le vase n'a pas de fond.
Pourvu que ce ne soit pas mon tonneau des Danaïdes.

Pensée du jour.

Il y a des hauts... Aujourd'hui, je suis en bas. C'est comme ça.
Pensée (elle est longue cette semaine) Alexandrine.

Avenue Simon Bolivar

Hier - Willy Ronis - Années 1950

Aujourd'hui - Thomas Byhet - 07/01/2006

Pensée du soir.

Souvent femme varie, bien fol qui si fie.

11.1.06

Déclaration d'intention?

" Toi tu as les yeux révolver ! Tu m'as touché avec en septembre et maintenant c'est foutu ! "

Bouleversé

La lecture d'un courrier de lecteur du dernier Télérama m'a profondément mis mal à l'aise et m'a ému aux larmes. Ca ne se commande pas.
" Ripailles
Au repas du réveillon : carottes râpées, croquettes de poulet avec ketchup, frites au four (on les fera à la poêle) et yaourts au chocolat. Mes enfants sont fous de joie d'avoir un repas de fête ! Moi aussi, de les voir heureux. Enorme merci à la Banque alimentaire. "
Télérama n°2922 - pp 6

Manger liquide.

L'Américano c'est bon le soir surtout multiplié par trois. Par contre le matin...

Prom'nons nous...

Constatation # 45

Il avait le visage fermé par une fermeture zippée. Je n'ai pas réussi à trouver la petite languette pour lui faire retrouver un joli sourire.

10.1.06

Le lac des signes

J'étais parti pour voir de la danse contemporaine. J'étais content. Un classique revisité à la sauce actuelle, c'est toujours une bonne chose. Mais je me suis trompé. Ce n'était pas contemporain... Ni classique d'ailleurs. Une sorte de spéctacle de fin d'année légèrement dégrossi et avec une mise en scène tape à l'oeil pour faire bonne figure.
C'est ennuyeux.
Une troupe formatée pour attirer le chaland : beaux corps; belles têtes. Ca a de la gueule. Ca attire et ça fait saliver. Le public pas comme les autres ne s'y est pas trompé. Des danseurs masculins clonés sans doute tous issus d'une Star Ac' locale. C'est beau sur une scène mais ça ne met pas beaucoup d'âme. S'ils savaient danser au moins.
C'est ennuyant.
Des décors superbes. Des idées scénaristiques intéressantes. Un nouveau concept théatral : le mime chorégraphié. Ca peut être sympa. Cela peut faire illusion; ça l'a fait pour la grande majorité de la salle. Sauf que c'est vendu comme une pièce de danse. Et j'ai un peu l'impression de mettre fait avoir par de la publicité mensongère.
C'est emmerdant.
On nous promettait un spectacle sensuel et quelque peu subversif. Mouais ! La sensualité, il faudra revoir la définition. La subversité est bien gentillette. Je sais, c'est un spectacle qui a déjà 20 ans d'âge et donc il y a eu évolution des moeurs. Enfin, si par subversif, on ne voit que l'évocation en fond de scène d'une liason bi-sexuelle et la bleuette sans passion homosexuelle (non assumée en plus).
Je sais que je suis très dure avec cette pièce. J'en ai encore les oreilles qui sifflent. Mais j'attendais tellement de celle-ci, que me retrouver devant une sorte de Notre Dame de Paris dansée, m'a réellement mis en colère. Si c'était donné encore... Mais ça coûte super cher... Je n'ai pas aimé. La première partie était trop approximative et inégale pour accrocher. La seconde partie? Je ne m'en souviens pas. Je ne l'ai même pas vu, je crois bien, tellement je n'étais plus en état d'apprécier.
Swan Lake - Matthew Bourne

Les aléas de ma mémoire musicale # 16

Oh my life is changing everyday
Every possible way
Though my dreams, it’s never quite as it seems
Never quite as it seems
I know I felt like this before
But now I’m feeling it even more
Because it came from you
Then I open up and see
The person fumbling here is me
A different way to be
I want more, impossible to ignore
Impossible to ignore
They’ll come true, impossible not to do
Impossible not to do
Now I tell you openly
You have my heart so don’t hurt me
For what I couldn’t find
Talk to me amazing mind
So understanding and so kind
You’re everything to me
Oh my life is changing everyday
Every possible way
Though my dreams, it’s never quite as it seems
’cause you’re a dream to me
Dream to me


Dreams - The Cranberries - Everybody Else Is Doing It, So Why Can't We? - 1993

9.1.06

Chaud au coeur

Qu'il fut bon cet accueil aujourd'hui au travail. Qu'il était chaleureux et sincère. Je n'avais pourtant pas forcément très envie de reprendre le travail après ces deux semaines de vacances et surtout cette dernière semaine exaltante. Mais cette démonstration inhabituelle (ou bien est-ce que la démotivation extrème d'avant les vacances me l'avait occulté?) m'a montré que je suis quelqu'un qui compte pour eux. Et cela, c'est un prise de conscience inéstimable.

Absolument ! 'bsolument !

Il y a les soirées "couilles" de certains (ce n'est pas sale, je vous rassure); les soirées entre amis; les soirées strip-poker, nain jaune, belotte et re. Depuis peu, il y a aussi des soirées Sylvie Joly avec Josiane (celle qui travaille à la Sécu, celle à queue de cheval); Catherine (la bobo branchouille, nouvelle propriétaire d'un bel appartement, 'bsolument); Ginette (la belle soeur à mon beau frère qui tient l'bar tabac en face d'la gare et qui sert de punchin' ball de service) et puis Sophie (qui fait des mousses au chocolat aigres).
Une bien jolie soirée, rigolote et épicée.

8.1.06

Considération personnelle # 5

... Ni atypique !

7.1.06

Considération personnelle # 4

Je ne suis pas typique...

5.1.06

De la naissance...

... D'un groupe d'amis.
2005 a été l'année de la création d'un petit réseau d'amitiés nouvelles et solides mais personnelles. 2006 sera sans doute l'année des mêmes amitiés mais partagées.
Deux soirées des plus importantes viennent de se dérouler en à peine une semaine. Deux soirées amicales mais c'était plus que cela. La réunion de trois personnes qui comptent tant pour moi et qui par la force des choses ont été amenées à se rencontrer, à se connaître et à s'apprécier. Le résultat est là; les soirées ont été agréables et amicales et avec une certaine complicité je pense.
Ne croyez pas que cette situation n'est pas déroutante pour moi. Passez du tête à tête avec chacune d'entre elle à un partarge tri-céphale est assez perturbant pour moi. Une personne peu sûr de soi, a vite fait de se botter d'elle même en touche, en se plaçant en observateur, perdant parfois tous ses moyens et son naturel qui sont pourtant tant présents dans les moments de complicité à deux et retrouvant la timidité maladive qu'il croyait pourtant bien attaquée depuis quelques temps. Apprendre à les découvrir sans le prisme déformant de l'égoïsme : une perte de repère relationnelle vertigineuse parfois. Il s'agit, cependant, d'une nouvelle façon d'appréhender ces personnes que j'aime; de les voir évoluer entre elle, de les voir rire ensemble, de les sentir devenir amis réciproques, est aussi un plaisir sans nom.
J'en veux d'autres de ces soirées. Je veux ! Je veux réentendre ces propos déplacés; je veux revoir les larmes de rire; je veux revoir les verres renversés (de champagne, cette fois) par le trouble. Je veux !

Questionnement # 11

Mais on tient à combien dans une boîte à sardines?

1.1.06

Constatation # 44

Même le petit chat mort de Maman se transforme en rat.

Pensée du jour

Retroussons les manches pour affronter la nouvelle année qui vient de commencer.
Pensée (et une de plus au compteur) Alexandrine.