21.1.06

Douche écossaise

Il y eu la révélation Clarika il y a quelques mois lorsque Rafaele me passa cette sublime chanson, mainte et mainte fois écoutée depuis (pour le plus grand malheur du sage E.).
Rafaele - Clarika - Alexandre. Un Trio qui est devenu normal depuis qu'une autre de ses chansons a symbolisé notre amitié. Il était donc évident d'aller la voir sur scène, pour une première fois époustouflante, au Divan du Monde au mois de novembre dernier.
C'est à partir de là que les choses ont commencé à changer.
Il y eu, d'abord, la grande joie de découvrir, à la fin de ce concert, qu'il y aurait un autre concert le 23 janvier à la Cigale. La joie de se dire, quasiement en simultanée, qu'il fallait qu'on fasse découvrir à nos moitiés (ou ex) respectives cette chanteuse hors du commun.
Puis vint la déception; celle de découvrir dans un cri gutturalement exagéré, que je travaillais le 23 janvier jusqu'à 23h30 et que je n'arriverais pas à modifier mon horaire pour aller assister au concert.
Puis vendredi, le bonheur revint avec force gestes d'allegresse et danse de la joie ultime (tout cela intérieurement au travail puis résolument démonstrative à la maison), lorsque par un tour de passe-passe de planning, je retrouvais une soirée de liberté ce lundi là, me permettant d'aller la voir. Joie multipliée d'abord par deux, quand E. (qui déteste pourtant Ca s'peut pas, j'insiste) accepta de m'accompagner au concert; puis par trois, lorsque Rafaele releva le défi de venir en coup de vent impromptu sur Paris pour venir avec nous. Le Trio était reformé; la normalité reprenait son droit. La place fut aussitôt réservée.
Coup de vent frais ce samedi matin, Rafaele, finalement ne pourrait pas se déplacer. Trop peu de temps pour s'organiser. Déception. Désolation. Pas encore damnation. Et pourtant j'ai essayé de faire changer le sort, tel un Superman tentant de rendre à la vie sa bien-aimée, mais rien n'y fit... Quand on n'est pas Superman, on n'est pas Superman. Le Trio ne serait pas, cette fois.
Pourtant, une mission m'incombe. Adoubé par la toute puissance rafaelienne, je dois porter les bonnes paroles Clarikiennes à deux non initiés. "Sieur E. et Sieur Eltan, vous serez mes novices encore une fois ce soir là. Faites moi entière confiance, Clarika ne saurait vous décevoir. Ayez cependant à l'esprit que dans cette salle, un pauv' petit loupiot nous manquera".
Me manquera...

6 commentaires:

E. a dit…

ha ! c'est elle qui chante "ça s'peut pas" !!!!!!!!!!!!

Anonyme a dit…

"JOker"....
Non j'adhère moins aux vestiaires des garçons, mais des textes sublimes....
Comme j'aimerai être à Paris et avoir cette diversité, cette multitude d'artistes à découvrir ou à rencontrer sur scène ...

Eltan a dit…

oui désolé de remplacer au pied levé le soleil Rafaele, que je ne saurais égaler. Nous penserons fort à lui et ne manquerons pas de lui faire partager à distance ce moment qui aurait du représenter tant pour vous deux.

Eric a dit…

> David :
Quel connaisseur tu fais !
Ce que j'aime à Paris, c'est la grande possibilité de découvrir de jeunes artistes tout simplement... Jeremie Kisling, Barbara Carlotti, Les Presques Oui...

> Eltan :
T'as t-on demander dégaler qui que ce soit? Tu fais simplement parti d'un programle de transmission de connaissance de données importante. Remplacé au pied levé? Tu devais venir quoi qu'il arrive !

> E. :
T'vas voir ta yeule !

Rafaele a dit…

ça s'peut pas.. cet amour c'est trop fort c'est trop put tout ce tralala ça s'epeuttttttttttttttttttttt passsssssssssssss :o) J'avais révisé !

E. > t'vas voir ta yeule !

Eltan : Nul n'est besoin de m'égaler... tu tiens une place de choix dans le quatuor zébré.

Alex : I'll be back another day...

Rafaele a dit…

pur et pas put bien sur ;o)