7.12.06

Constatation # 105

C'est automatique. Aux premières notes de l'adagio du concerto de Aranjuez, lorsque les notes sèches de la guitare dialoguent avec les sons graves du basson, tandis que les cordes de l'orchestre enveloppent douloureusement cette complainte funèbre, je pleure. Comme un robinet qui s'ouvrirait tout seul.

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