27.8.08

Fermé pour travaux de rénovation

Ce n'est plus un appartement. C'est un véritable chantier. La moquette disparait sous des étendues de plastiques, couvertes de poussières de bois et de plâtre.
Quand mes parents débarquent à Paris, c'est pire que Valérie Damidot dans un appartement. Chaque fenêtre va être auscultée, poncée, grattée, brossée, soignée, peinturelée, jointée et je ne sais pas quoi en "ée". Une cure de jouvence, en tout cas, pour celles qui laissaient passer l'eau comme des passoires.
C'est beaucoup de travail mais pour un résultat qui m'impressionne. L'efficacité légendaire de mes parents me laisse pantois et lessivé. Tout est une question d'organisation, chose qui me manque, je m'en rends de plus en plus compte. J'essaie de les suivre mais je suis plus un boulet en essayant de mettre ma petite touche. Pas une minute n'est laissé à l'inoccupation alors que j'aurais envie de me reposer toutes les heures. Bah, je ne serais jamais un bricoleur, même du dimanche. Il faut bien que je me fasse une raison.

2 commentaires:

Nonoparis a dit…

Heu tes parents ils veulent pas venir chez moi, il y a du bricolage que je n'arrive pas à faire...pas assez bon..et puis il reste quelques coups de peinture dans ma cuisine.
Dis..dis..ils peuvent venir

Eric a dit…

Si tu es prêt à te lever à 6h30 du matin pendant leur presence et de supporter leur rythme, pourquoi pas...
Ils sont gentils mes parents mais c'est pas des rigolos non plus :-(