6.1.08

Pour en finir

2007, c'est fini ! Vive 2008.
La fin de l'année a été difficile. Beaucoup de fatigue accumulée à cause du travail, des grèves à répétition et puis le temps qui n'a rien arrangé. Bref une fin d'année qui n'aura pas été des meilleures. Bah, ce n'est pas bien grave parce que les dix jours de vacances ont réussi à faire passer la pilule. On va pouvoir partir sur de bonnes bases pour ce début d'année.
Quand j'y pense, elle n'aura pas été si mauvaise cette année. Mon changement de plateau en début d'année aura été la meilleure des décisions que j'ai prises. Les choses s'accélère à un rythme qui me convient parfaitement. Je ne peux pas dire que le travail soit toujours très facile (surtout en ce moment) mais au moins je bénéficie d'une vraie ambiance de travail avec une confiance réciproque, de vraies responsabilités. Il y a beaucoup de choses encore à améliorer mais je pense que je ne suis pas loin d'être parfait (mes chevilles vont bien merci). Les perspectives d'évolution sont bonnes et je pense que d'ici peu de temps, je devrais relever un nouveau défi. Croisons les doigts en tous cas.
Dans l'autre vie, la vraie vie, celle de tous les jours, tout est rose. Le Sage épanouissement du bonheur qui fait tant de bien quand tout va mal. L'équilibre parfait entre le partage et ses différences propres. Après huit années, nous en sommes là. C'est géant !
Il faudra, bien entendu, régler certaines choses qui ont tendance à gangrener ces derniers temps. Des ultimatums. Des colmatages. Pourquoi la vie ne peut elle pas être toujours aussi facile dans tous les domaines?
De bonnes résolutions? Pas vraiment... De toute façon, on ne les tient jamais alors... Autant ne pas trop se fatiguer à en faire. Disons, que cette année j'aurais une carte d'abonnement pour le cinéma.
Des souhaits? Oui, plein !
Des regrets? Oui, un !
Allez tout va bien ! Comme me le disait naïvement un de mes collègues (qui avait dû apprendre par coeur cette phrase) : que mes meilleurs moments de 2007 soient les plus mauvais instants de 2008. C'est beau de rêver mais que serait-on sans cet espoir là.

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