30.6.06
Break
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29.6.06
Si la photo est bonne
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Fin de saison
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28.6.06
Constatation # 76
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En attendant...
Ce que dit Eric Il était 23:42 0 Ce que vous en dites
Anonymat
Reste debout, oui, debout,
parmis la foule urgente
remplie de voyageurs à rebours.
Simon Desrochers - Parle seul - 2003
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Decision
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Una furtiva lagrima
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27.6.06
Une larme trop rapide
L'elisir d'amore - Gaetano Donizetti - Livret de Felice Romani - Romanza de Nemorino (acte 2 scène 8)
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Reflexion de comptoir
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26.6.06
Pensée du jour
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Quartiers d'orange
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25.6.06
Le joli mois de juin
Quand vient le joli mois de juin, de petits fascicules fleurissent dans les boîtes aux lettres, qui éveillent dans le regard du Sage E. la jubilation d'un enfant devant un nouveau cadeau. Car avec le mois de juin, les nouveaux abonnements abondent et préparent déjà nos soirées futures. Un vent d'exaltation gagne ce sage bonhomme, d'ordinaire calme et posé. La table devient un véritable champs de bataille, jonchée de planning, de listes et de formulaires. Tout un travail stratégique s'engage alors pour répartir au mieu les différents spectacles. Le Sage E. jubile dans cet exercice et l'espace d'une semaine, un enfant a pris sa place.
Quand débarque le joli mois de juin, les jours s'allongent, s'allongent et s'allongent encore. Et les fêtes, pas bêtes, en profitent pour se dandiner sous les derniers feux du Soleil insomniaque. Fête de la musique. Fête du cinéma. Fête de la Saint Jean. Et la fête des fêtes; l'apothéose, le jour le plus long. L'arrivée de l'été.
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24.6.06
23.6.06
Au passage.
Photo souvenir d'un pigeon voyageur, qui me voyant avec mon appareil, me demanda de lui tirer le portrait sur le meilleur perchoir du lieu. Ni une ni deux, il a lustré son plus beau blumage, rajouté un peu de blush sur son bec et il m'a l'ancé un regard intense de beau pigeon. Et clic clac, c'est dans la boite.
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21.6.06
Vavavoum
Ce film aussi à prouver une chose (si cela était nécessaire) : la voiture est devenue le symbole de notre époque. Après la Coccinelle, place aux Porsches et autres grosses cylindrées américaines. Film à la gloire des Pistons et des mécaniques. Symbole d'une monde matérialiste, individualiste et de consommataion à outrance.
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20.6.06
Constatation # 75
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Démarchage
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18.6.06
Impression du matin
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17.6.06
Le dîner sur l'herbe
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Photo facile
Facile ! Peut-être mais on rira moins quand elle sera devenue carte postale.
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10 kilomètres à pied...
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16.6.06
C'est dit
" Ils sont bêtes ! Ils sont bêtes ! Ils sont tellement bêtes que ça vise à la crétinerie ".
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La force du coeur
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15.6.06
La bonne blague
Sur ces paroles hautement philosophiques, je vous la souhaite bien bonne.
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13.6.06
Déception du soir
Il avait dit 18h00. Pas 20h00.
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Une nouvelle conception chorégraphique
Un produit marketing en somme, un produit qui répond à ce que le public aime ( ?) en ce moment, ou en tout cas qui ressemble à de plus en plus de spectacles de danse actuellement. Pas de décors. Deux tables servent d’uniques accessoires le temps de dire « ouf, elles vont servir a quelques choses ces tables qu’ils bougent chacun leur tour ». Pas de mise en scène. Un jeu de lumière tantôt très haute, tantôt rasante mais toujours blanche et froide. Un petit peu de vidéo parce que ça fait tellement chic de mettre des images vidéo dans un spectacle.
C’est bien beau et bien gentil tout cela mais c’est lisse. Et on n’accroche pas. On ne s’attache pas. Bref, on n’adhère pas.
Anne Teresa De Keersmaeker – D’un soir un jour – Théâtre de la Ville (7 juin 2006)
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12.6.06
Petit Sucre d'Amour # 2
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9.6.06
7.6.06
Aïe Carrramba
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5.6.06
Petit sucre d'amour
Sur le refrain entraînant des Rubbets, Sugar Baby Love, la nouvelle campagne (très gay) de mobilisation contre le SIDA de l'association AIDES. (clique sur la photo)
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Je me souviens
Courseulles-Sur-Mer
Je regarde cette vague qui n'atteindra jamais la dune
Tu vois, comme elle je reviens en arrière
Comme elle je me couche sur le sable
Et je me souviens, je me souviens des marées hautes
Du soleil et du bonheur qui passaient sur la mer
Il y a une éternité, un siècle, il y a un an
Joe Dassin – L’été Indien
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Constatation # 74
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Mon Paris - Le pont des Arts et la pointe de l'île de la Cité
S'asseoir, ne serait-ce que dix minutes, à la pointe de l'Ile de la Cité. Les pieds ballotant à la limite de l'eau qui lècherait vos semelles de chaussures par petites vagues successives, au gré des allers et venues des bateaux. Se poser là, et s’émerveiller. Profiter de cet instant à part, hors du temps, hors de tout, hors de la cacophonie de la Capitale alentours. Regarder par delà les nombreux ponts qui enjambent la Seine de leurs pieds solides, luttant bravement contre les courants parfois forts de l’impétueux fleuve. Tous ces ponts qui s’enchaînent et se dessinent dans la perspective des uns et des autres, donnant l’illusion que vous ne voyez qu’une multitude d’arches maçonnées et de piles solides. Apercevoir les milliers de rayons solaires qui émanent des multiples facettes de la grande verrière du Grand Palais. Admirer les volumes et les volutes du Louvre sur votre droite. Ou bien, plus près encore, juste devant vous observer distraitement les flâneries oisives de tous ces gens sur la passerelle des Arts. Regarder l’architecture ajourée et en ombre chinoise de ce pont tout entier réservé aux piétons. Fixer, amusé, les mouvements chaloupés de la bouée conique, verte et orange, dans le jeu des vagues de la fière Seine qui s’offre à vous.
Fermer les yeux. Vider votre tête et réapprendre à découvrir les sons sauvages de la nature. Le piaillement des moineaux dans le jardin à côté ; le bruissement aérien d’ailes de petites mouches ; le rire goguenard des mouettes suivant le sillage des bateaux. Les klaxons se font moins présents ; les moteurs et leurs gaz sont bien loin de vous. Une quiétude toute grisante vous envahit à cet endroit. Parfois, les rires et les sons de joie des touristes voguant à la découverte de Paris par le fleuve. La Seine sans les bateaux mouches ne serait vraiment pas Paris.
S’asseoir, ne serait-ce que dix minutes, un dimanche matin d’hiver. Un de ces dimanches où le un soleil glacial vous réchauffe le bout du nez rougi. Un de ces dimanche où la ville dort encore douillettement sous la couette, asseyez vous, là, à la pointe de l’Ile de la cité. Il n’y a personne que vous et la minuscule brume sortant de votre bouche et qui se perd dans le vent froid qui souffle ici. Juste dix minutes. Juste le temps de se poser sereinement et de se dire que vous habitez une belle ville. De ces moments là, où vous vous dites que la ville est à vous, à moi et c’est tout.
Après cette halte récréative, partir à l’assaut de cette passerelle faite de bois et de métal qui attirait votre regard. La passerelle des Arts. Et ses bancs et ses lanternes. Le remonter en arrivant par la rive gauche pour que vous arriviez, à son extrémité, en face de la Cour Carrée du Louvre, si majestueuse. Un pont qui vit aux sons d’un saxophone ou aux accords d’une guitare ; qui respire aux rythmes de ces passants qui passent ou qui restent en buvant et en mangeant ; qui inspire des artistes de tous ordres, peintres, dessinateurs, jongleurs, conteurs. Passer, en regardant entre les lattes de bois du tablier et voir les reflets du soleil dans les couches vertes et grises de la Seine. S’arrêter au milieu, d’un côté puis de l’autre, et regarder les monuments qui vous saluent du plus près au plus lointain. Voir de loin, la pointe de l’Ile où vous vous trouviez sagement assis il n’y a pas vingt minutes ; les arbres du jardin vous ont reconnu et vous saluent de leurs branches brillantes. Répondre aux coucous sonores d’un bateau mouche qui vous traverse entre deux piliers en Mécano. Avancer. Avancer lentement. Prendre son temps et plonger et se noyer dans cette vie à part qui anime le pont. Garder en visu la porte monumentale de la Cour Carrée. Ce bel espace qui enchantera encore et toujours mes yeux de son calme écrasant, sous le regard bienveillant de milliers d’yeux statufiés.
Ce que dit Eric Il était 16:49 1 Ce que vous en dites
4.6.06
Du rififi chez les supers héros
Ce que dit Eric Il était 21:01 0 Ce que vous en dites
That's my dog
Ce que dit Eric Il était 18:41 1 Ce que vous en dites
2.6.06
Enfin...
- Dis Maman? C'est quoi cette grosse boule jaune dans le ciel, là?
- C'est le soleil !
- Le quoi?
- Le soleil, mon chéri.
- C'est une grosse ampoule? Ca sert à quoi?
- Non, c'est comme une étoile. Et c'est ce qui servait à réchauffer notre planète.
- Pourquoi, je l'ai jamais vu avant?
- Parce qu'il n'y a plus de saisons, mon ptit gars.
Ce que dit Eric Il était 22:54 0 Ce que vous en dites
Beau gosse # 8
Ce jeune homme est top modèle (forcément) et vénézuelien. Il est considéré comme un des sud-américains les plus sexy du moment.
Il est visible en ce moment au cinéma, pour la publicité du nouveau parfum pour femme d'Armani. C'est le gars qu'on voit à gauche de l'écran et qui se lance dans une sorte de danse avec la nénette sans intérêt.
Ce que dit Eric Il était 09:39 3 Ce que vous en dites
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