31.1.08
Mes films du mois de janvier
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Libellés : Les films du mois
The Dø - A monthful
On avait eu un aperçu du talent de ce duo franco-finlandais, l'année passée, à travers le très joli "on my shoulders" qui illustrait la publicité pour les cahiers Oxford.
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Libellés : Ce que j'écoute
30.1.08
Un mariage de rêve.
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28.1.08
Michael Kenna
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27.1.08
Sous le ciel de Paris # 28
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Libellés : Sous le ciel de Paris
Saul Leiter à la Fondation Henri Cartier Bresson
© Saul Leiter - Café, Paris - 1959La Fondation Henri Cartier Bresson consacre ses murs aux photographies de Saul Leiter. Ce photographe américain de presque 75 ans, apôtre de la "street photography", s'est bâti un univers bien particulier et étrange, qui m'a laissé perplexe. Que ce soit en noir et blanc ou en couleur, il fige la vie urbaine à travers le reflet de miroirs, de vitres et de devantures. Il semblerait qu'il aime à photographier ses sujets à travers le prisme de l'anonymat que lui conférerait le secret d'un café. On a souvent l'impression de photographies volées, prises à la va vite, souvent floues et dont le sujet se distingue à peine de l'environnement fantasmagorique de l'ensemble. Photos volées, visions étranges de la ville et de ses rues. Univers mystérieux et brumeux où le centre d'intérêt n'est pas toujours celui qui est au centre de l'objectif mais bien souvent dans un coin embué ou flou.
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25.1.08
Enemy in the figure - William Forsythe
Passons sous silence l'indigeste et sans intérêt première partie de cette soirée animée par les danseurs de l'Opéra de Lyon. Il aura tout de même fallu supporter presqu'une heure trente de n'importe quoi chorégraphique avant de pouvoir voir le clou de la soirée : Enemy in the figure de William Forsythe, interprété par ces même danseurs.
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Brève de métro # 8
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Libellés : Brève de métro
24.1.08
Désaccord parfait
Un film coup de poing. Et il s'agit encore d'un film allemand. quand je vous dis qu'il est en pleine vitalité ce cinéma là.
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Gentil Animateur
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Au cinéma

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22.1.08
Petites annonces
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19.1.08
A l'assaut de la fenêtre ouverte
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Libellés : A l'objectif
18.1.08
La veuve joyeuse
J'avais envie d'un film léger et court; un film qui puisse m'occuper entre 15h00 et 17h00. Le genre de film qui fait passer un bon moment quitte à l'oublier aussitôt après. Le choix étant assez limité en ce moment, je me suis rabattu sur le nouveau film d'Isabelle Mergault.Anne-Marie est la potiche de son mari qui préfère Sisi, sa chienne. Mais elle s'en fout Moumousse parce qu'elle a un amoureux qui lui propose une vie rêvée. La mort accidentelle de son mari va lui proposer l'opportunité de pouvoir réaliser ce rêve, sauf que l'arrivée et l'incruste de la famille, pour les funérailles, vont lui poser quelques problèmes et contrecarrer ses plans...
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16.1.08
Zeitung - Anne Teresa De Keersmaeker
Un spectacle âpre que cette nouvelle pièce de Anne Teresa De Keermaeker, création mondiale au Théâtre de la Ville (du 11/01 au 19/01).
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Kit Kat Klub
La couleur est annoncée dès le début du spectacle. On est les bienvenus au Kit Kat Klub, ce cabaret, lieu de liberté et de transgression du Berlin d'avant guerre.
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Libellés : En concert
15.1.08
On ne sait jamais sur quel pied danser...
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Constatation # 154
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Libellés : Ce que je constate
L'appel de la forêt
Christopher, 22 ans, a tout pour avoir un bel avenir, dans une société aisée. Le jour de la remise de son diplôme, ses parents lui offrent une nouvelle voiture, le sacro saint symbole de la société américaine. Pourtant, c'est le déclic pour le jeune homme : il ne sera pas ce qu'on attend de lui, il ne sera pas le notable avec la raie de cheveux bien nette sur le côté, comme son père. Du jour au lendemain, il plaque tout pour réaliser son plus doux rêve : vivre dans le grand nord en totale osmose avec la nature. Il ira jusqu'au point de non retour.
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12.1.08
Wake up cat
Animation de Simon Tofield
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11.1.08
Sous le ciel de Paris # 27
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Constatation # 153
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Sous le ciel de Paris # 26
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Au cinéma.
American Gangster de Ridley Scott est un sacré film. A la fois reconstitution historique (parfaite), polar énergique et rencontre au sommet entre deux monstres du cinéma américain. Russel Crowe et Denzel Washington nous offrent, en effet, des prestations impeccables et possiblement oscarisables. La réalisation est haletante et maitrisée d'un bout à l'autre (sauf peut-être la mise en place de l'histoire un peu trop explicative et lente). La mise en scène est nette et précise, nerveuse et captivante. La durée du film (plus de 2h30 ce qui pourrait en rebuter plus d'un) est sans temps morts et tout passe très vite. Un très bon film.
Le cinéma allemand va bien. L'an dernier, j'avais été ébloui par le saisissant "La vie des autres" et le froid et cruel "Ping Pong". Cette année cinématographique commence donc par un film allemand qui, si il n'arrive pas au degré de perfection des films cités, est néanmoins une jolie réussite. Dans l'Allemagne de l'est d'après guerre et d'avant la construction du mur de la honte, une jeunesse encore marquée par les horreurs de la fin de la deuxième guerre mondiale, tente de vivre comme tout le monde. La musique américaine rythme leurs soirées noyées au Perroquet Rouge, un club de danse de Dresdes, où l'alcool coule à flot. Sous l'étroite surveillance des autorités dont la paranoïa voit en cette jeunesse, encore libre, des signes d'immoralité et de subversion qu'ils leur faut endiguer le plus rapidement possible, une histoire d'amour va lier un jeune artiste naïf et une poétesse mariée dont les textes sont jugés subversifs. Ce film n'est en fait qu'une histoire d'amour, somme toute très banale, sur fond de bouleversement historique. Si la partie romance n'a que peut d'intérêt, c'est surtout la reconstitution des quelques semaines avant la construction du mur de Berlin qui est ici intéressante. La paranoïa des autorités, la délation et la surveillance qui gangrènent la société à tous les niveaux, les répressions expéditives, la lutte entre la liberté contre l'enfermement idéologique, ce sont ces éléments qui sont très bien rendus ici. L'Allemagne a des comptes à régler avec son histoire et le cinéma actuel fait office de thérapie nationale. Ne nous plaignons pas, tant que cela donne d'aussi beaux films...
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Sous le ciel de Paris # 25
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9.1.08
Journée de merde
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Dans les grands fonds du hublot
Voilà pourquoi je passe autant de temps à regarder tourner le tambour de ma machine à laver. Quand l'imagination tourne au quart de tour...
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8.1.08
les aléas de ma mémoire musicale # 29
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Dès qu'j'te vois, je sais qu'c'est toi
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7.1.08
A la carte # 12 - L'Atlantide
Il y a quelque temps, après avoir vu "la graine et le mulet" au cinéma, j'ai eu l'envie subite et irrépressible de manger un couscous. Au début, je m'attendais à manger un couscous congelé de chez Picard, à la maison. Et puis non, finalement pas. En remontant l'avenue Laumière, l'Atlantide nous a ouvert sa table. Il faut dire que nous avons eu beaucoup de chance parce que sans réservation, c'est presque mission impossible de pouvoir manger dans ce restaurant là.
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6.1.08
Beau gosse # 16
Ce jeune homme, bientôt trentenaire, est américain. Il s'appelle Marc Callahan et il chanteur lyrique, baryton même. Découvert à l'opéra de Lyon, lors de notre dernière virée dans cette ville, dans La Vie Parisienne d'Offenbach, mise en scène par Laurent Pelly, il chantait Bobinet. Bien fait de sa personne, on ne peut vraiment pas dire le contraire, il nous a interprété "mon habit a craqué dans le dos" d'une très belle manière. Il a une belle présence scénique et un côté espiègle, une fraîcheur décontracté, qui retient l'attention. Même placé de très loin, comme nous l'étions, il a réussi à capté mon attention. Et la vision de l'opéra sur France 3, samedi dernier (et bientôt sur Mezzo), m'a confirmé qu'il y avait de quoi s'intéresser à cet homme là.
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Pour en finir
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3.1.08
Au cinéma pendant les fêtes
Prenons une actrice pétillante et décalée. Laissons lui l'opportunité de se donner les moyens de faire un film (le second qui plus est), de l'écriture à la réalisation en passant par le jeu bien sûr. Et nous verrons Actrices de Valeria Bruni Tedeschi. Un ramassis de nombrilisme et de narcissisme, ni plus ni moins. Des idées à foison qu'elle balance sur pellicule. Un peu comme s'il elle avait enfermé dans un sac une longue liste d'idées souvent bonnes et intéressantes prises séparément, qu'elle aurait secoué avec entrain et qu'elle aurait mis en scène à l'aveuglette sans chercher une queue ou une tête à tout cela. Le seul personnage a être correctement écrit est celui joué par Valeria, les autres sont malheureusement inexploités. Dommage car la distribution méritait mieux que ce rôle de faire valoir. On regarde sans intérêt, tout ce monde là bouger comme des toupies border line. C'est très bavard, souvent sans âme (exception faite dans quelques scènes magnifiques), quelque fois drôle et touchant mais au final fatiguant et éprouvant. La critique encense, le spectateur s'ennuie. Encore une fois, un large fossé entre l'intelligentsia intellectuelle (?) et la masse payante.Actrices - Valeria Bruni Tedeschi
Dans la famille blockbuster de fin d'année, voici Je suis une légende, adaptation du roman d'anticipation du même nom de Richard Matheson. L'action du roman est transposée de Los Angeles à New York. Je ne sais pas pourquoi les cinéastes prennent un si grand plaisir à détruire cette ville. Ici, une vision extraordinaire de la ville désertée, rendue à la sauvagerie naturelle : rues au bitume craquelé par la végétation, peuplées d'animaux sauvages (lions, gazelles numériques) et surtout hantées par des zombies (humains ou canins) assoiffés de sang. Vision apocalyptique pour un film sans envergure. Le minimum syndical du genre est assuré : effets spéciaux à gogo mais loin d'être réussis, un scénario au rabais à la morale cul cul la praline, un acteur qui a autant de charisme qu'un robinet; quelques scènes réussies et efficaces tout de même mais un peu trop noyées dans le sans relief ambiant. Bref, il parait qu'il vaut mieux lire le roman (selon le Sage E.), c'est ce que je vais faire rapidement.
Je suis une légende - Francis Lawrence
Marc Gibaja, en fan absolu de comédies romantiques américaines, parodie et veut rendre un hommage au genre, pour son premier film. Volonté casse gueule tout de même. Mais, il s'en tire bien, s'appropriant les codes du genre et plagiant ouvertement et sans vergogne des plans entiers de Quand Harry rencontre Sally ou Nuits blanches à Seatle, il réussit à réaliser une vraie comédie romantique à la française plutôt convaincante. Servi par un Gilles Lellouche barbu parfait dans ce rôle de looser qui rêve au grand amour, à contre emploie de ce qu'on l'a vu faire jusqu'à présent; et une Marie Gillain épatante et pétillante en bourgeoise qui se lâche. C'est rose bonbon. C'est parfumé à l'eau de violette, léger et décalé; un vrai plaisir sans prise de tête.
Ma vie n'est pas une comédie romantique - Marc Gibaja
Une fanfare égyptienne se perd dans les tréfonds du désert israélien. Parce qu'ils n'ont pas le choix, les membres vont devoir cohabiter avec les habitants d'une petite ville perdue, le temps d'une nuit. Peu d'action et de ressorts dramatiques dans ce film mais plutôt une tranche de vie, une parenthèse enchanteresse, un concours de circonstances imparable, avec des personnages délicieux d'humanité. Ce premier film d'Eran Kolirin est une vraie réussite avec des dialogues précieux, de longues scènes silencieuses et intenses qui valent bien plus que tous les mots devenus inutiles. Le film parle de l'incommunicabilité que ce soit à cause de la langue ou de la pudeur des personnages. L'angoisse de cette impossibilité de parler, la perte des repères mais malgré tout l'échange plus fort que tout. Un film d'ambiance qui prend comme partie pris le minimalisme simple et quotidien, parfois à la limite du burlesque, où chaque regard, chaque geste compte et fait partie du récit narratif. Les acteurs sont tous touchants mais Ronit Elkabetz, la belle et brune Dina, a une présence incroyable sur l'écran, entre douleur et sensualité. Sasson Gabai, le chef de la fanfare, réussit un beau numéro d'acteur entre la sévérité rigide qu'il affiche sur son visage et la tendresse latente qui déborde par ses yeux.
La Visite de la Fanfare - Eran Kolirin
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2.1.08
Squelette architectural
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Pain surprise
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1.1.08
Les mystères du crépuscule
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Libellés : A l'objectif
Mon année au cinéma
Une année au cinéma. C'est près d'une centaine de films. Peu de très bons, beaucoup de passables, quelques uns de très mauvais. Dans l'ensemble, de bonnes choses : La vie des autres; Come back; Les chansons d'amour; Délice Paloma; Ratatouille; Caramel; Les méduses; le dernier volet des aventures de Jason Bourne; Darling; Once; De l'autre côté... Ca serait là mon top 10 de l'année.
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Eric
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