29.4.06
Oh la vache
La vache qui dit Moya Moya Moya - Patrick Moya - Saint Eustache - Paris 1er arrondissement
Du 27 avril au 26 juin, Paris se transforme en vaste pâturage où près de 150 vaches vont égayer notre espace urbain. C'est de l'art contemporain et une action caritative.
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28.4.06
Pensée d'hier soir
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Il y a des matins comme ça
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27.4.06
Et après...
Le décors évoque une place d'une ville méditéranéenne. Athènes ou bien Naples (c'est ainsi que je m'imagine cette dernière). Pavée et poussiéreuse. En continuelle (dé)construction, échaffaudée. populeuse et bruyante. Une place où l'on pourrait entendre les gens chanter tout le temps.
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26.4.06
Pensée du jour
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SOS 117
OSS 117, le Caire nid d'espions - Michel Hazavanicus
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Les griffes du tigre
Je me souviens de la série télévisée du début des années 80. La bonne époque des séries à la française. Le réalisateur a eu le bon goût de garder le générique originel. Et c'est génial de fredonner la musique quinze ans après.
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25.4.06
Sous sol
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Soirée musicale
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En suivant ma route
Nimbées des vapeurs de rosée réchauffée par un chaud soleil printanier, les vertes collines du Perche, au tapis jaunis par des corolles fraîchement épanouies, resplendissaient des souvenirs nostalgiques d'un gamin revenu de Paris. Des histoires de balades en vélos déglingués sur des routes à peine goudronnées, qui se finissaient, à chaque fois, en soleils improvisés. Des plongeons involontaires dans une mare aux grenouilles et aux canards, qui sentait bon la vase et le soufre. Des collines avec des vaches qui paissaient nonchalamment des feuilles de trèfles qu'on espérait toujours à quatre feuilles. Des parties de pêche qui ne mordaient jamais à force de rire trop fort ou de nourrir jusqu'à l'indigestion, les poissons avec l'appât sensé les attirer à nos hameçons tout rouillés. Une chambre dans ce corps de ferme, quasi abandonné, avec sa literie trop froide et son imaginaire peuplé d'ombres extraordinaires ou d'araignées bien réelles, qui nous faisaient nous cacher sous l'édredon qui sentait l'humidité. Des souvenirs d'enfance d'un gamin percheron, élevé au grand air.
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21.4.06
Insomnie
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Constatation # 68
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20.4.06
19.4.06
Histoire belge
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Finalement...
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Auto-motivation
Toujours un obstacle au milieu de la route. Un arbre qui cache une foret. La vie et ses petites contrariétés à surmonter. Cactus mal placés. Peaux de bananes insolentes. Sens interdits qu'on s'impose.
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18.4.06
17.4.06
Restez-y
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Constatation # 67
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16.4.06
Qu'est ce qu'elle a sa gueule?
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Gens bizarres et compagnie # 4
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Les bons mots de l'amour
Moi :
Pas trop difficile la route?
Maxime :
Non, car au bout de la route, je vois mon Coeur.
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15.4.06
Page blanche
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Conversation au sommet...
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14.4.06
A l'unisson
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Pas de double ration
Sauf que François Pignon s'est trouvé encore une fois (ça ne serait pas François Pignon, sinon) au mauvais endroit, au mauvais moment. Soubressaut dans sa vie morne que va le plonger dans une histoire abracadabrante. Pour sauver le mariage d'un milliardaire adultaire, il accepte de jouer la comédie et de se faire passer pour le fiancé d'un top modèle (vraiment top le modèle) pour la modique somme de 32550 euros (eh oui, le François Pignon n'est pas un gourmand et un profiteur) et ainsi écarter les soupçons de la femme trompée qui a vu à la une d'un magasine people son cher mari au bras de la donzelle aux longues jambes.
Tout le monde y croit mais personne n'est dupe. Trop de grosses ficelles. Trop de ressorts comiques usés jusqu'à la corde. La femme cocufiée (la toujours très jolie Kristin Scott Thomas), aussi froide soit elle, n'y croit pas une seule seconde et va jouer à voir tous ces bons bougres dans leurs brassages de vent. Tout ça pour ça, pourrait-on dire. Oui. Sauf que ce seul granguignolesque est matière à comédie. Car on rit à voir ces faux amoureux dans leur découverte imposée. On rit de voir cet avocat cynique conseiller les plus horribles solutions imaginables pour sortir son client volage de la mouise où il s'est mis. On rit de voir le mari cocufieur se penser cocufié à son tour par ce Pignon de malheur.
Les acteurs sont plutôt bons et sauvent malgré tout le film car au niveau scénario, ça pédale fort dans la semoule. Heureusement, les dialogues reservent quelques perles de réparties :
La top modèle (couchée dans le petit lit de Pignon) : " Les mecs sont tous des connards avec moi. Ils ne pensent qu'à coucher avec moi. Toi, c'est pas pareil. Tu es gentil avec moi.
Pignon (dans le même petit lit et avec la top modèle) : Tu voudrais pas bouger un peu là, parce que je sens que je me transforme en connard... Tu vois"
Certe, ce n'est pas une comédie du niveau du "Diner de Cons" ou du "Placard", mais une comédie réservant de très bons éclats de rire. Il manque cependant le côté loufoque d'un Pierre Richard ou la connerie poétique d'un Jacques Villeret à cette nouvelle mouture du François Pignon. Le pauvre Elmaleh est bien fadoche dans cet emploi. La critique sociale est bien trop caricaturale pour être risible mais encore une fois, les rapports humains sont très bien sentis dans tous leurs travers.
La doublure - Francis Veber
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Face a une heure
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Constatation # 66
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Crépuscule
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13.4.06
Hall de gare
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Une valse à trois temps
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9.4.06
Le Toit de Paris
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32 ans d'âge de glace
Il y a comme un problème dans la glace. Elle est moins fraîche. Depuis des milliers d'années, toutes les espèces de la création se sont adaptées (ou ont trépassé : la dure loi de Darwin) aux frimats de l'âge de glace. Oui mais voila. Des oiseaux de mauvaise augure annocent la fin de leur monde; d'autres tout aussi plumés s'en pourlèchent le bec devant les ripailles à venir et suivent de près toute cette agitation. Mais que se passe t-il donc? Encore une fois, la faute du réchauffement de la planète... Déjà à cette époque. Les glaciers fondent comme de vulgaires sorbets citron mandarine et menacent d'inonder ce petit paradis. Une seule solution : partir. Migrer vers d'autres cieux plus secs. Il parait qu'une arche de bois sera la plache de salut pour sauver les poils de chacun. Autre problème. La fonte des glaces a réveillé de vilaines bébettes très très méchantes.
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8.4.06
The End
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5.4.06
Pensée du soir
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4.4.06
Dans le métro
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Persévérance
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3.4.06
Pensée du soir
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Beau gosse # 6
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Libellés : Beau gosse